Le triangle des Bermudes.
« C'est un
article du Miami Herald qui date du
17 septembre 1950 et signé par Edward Van Winkle, qui fait mention pour la
première fois de disparitions inexpliquées dans le secteur . Deux ans plus
tard, le magazine Fate publie un
article « Sea Mystery at Our Back Door » signé George X. Sand,
traitant de la disparition d'une escadrille de cinq chasseurs-bombardiers le 5
décembre 1945 au large de la Floride, évènement connu sous le nom de Vol 19.
C'est cette disparition inexpliquée qui va véritablement populariser le mythe
du triangle des Bermudes et alimenter les légendes concernant le secteur.
Pourtant, il semblerait que les avions d'exercice, dépourvus d'éléments de
navigation, se soient tout simplement perdus en mer après que le compas du
pilote-instructeur, le lieutenant Charles Taylor, fut tombé en panne »,
est-il écrit sur Internet.
1
La disparition d'une escadrille de cinq
chasseurs-bombardiers le 5 décembre 1945 au large de la Floride, évènement
connu sous le nom de Vol 19[].
Lorsque le pilote refuse de faire
confiance à ses instruments de bord, la catastrophe est proche. Mais
l’explication de cette disparition multiple s’explique par le suicide déterminé du pilote meneur du
vol 29, qui dirigea son appareil vers un endroit improbable, en haute mer, de
l’autre côté de la Floride, dans le désir de masquer son suicide et ses
quatre crimes.
Le suicide des pilotes et ses
conséquences font peur parce qu’il est imprévisible et qu’il est le fait de
l’homme. Aussi est-il souvent dénié. Ainsi en est-il pour le vol MH370, -un Boeing 777 devant relier Kuala
Lumpur à Pékin le samedi 8 mars 2014, et qui a disparu dans l'océan
Indien avec à son bord 239
personnes. Plusieurs débris de l'engin ont depuis été retrouvés
à la Réunion en juillet 2015, puis au Mozambique en mars suivant. Mais
l'épave de la Malaysian Airlines reste introuvable parce que, comme l’ont révélé les
Australiens, le pilote a crashé délibérément son appareil en un lieu improbable, plus à l’est. Les
Australiens sont tenants de la thèse du suicide , qui explique qu’il n’y ait eu
aucune revendication. A remarquer que le pilote fit un crochet nostalgique
au-dessus de son village natal , -supremum vale.
2 L’hydravion envoyé
au secours du vol 29 a lui aussi disparu dans le même secteur. Mais ce
type d’appareil avait un réservoir de kérosène qui avait tendance à exploser.
3 La disparition des
cargos : l’hydrate de méthane.
La disparition corps et biens de cargos avec à
bord plus de 300 hommes, sans qu’on ait retrouvé d’épaves la plupart du
temps,est le seul phénomène véritablement mystérieux du triangle des Bermudes,
au point d’avoir intéressé les océanographes américains du National
Geographic Magazine. On a ainsi évoqué
des émissions sous-marines d'un
gaz hautement inflammable, le méthane, dont la présence sous forme de bulles dans
l'eau diminue fortement la densité de l’eau gazeuse ainsi formée jusqu’à
provoquer une perte de flottabilité pour les bateaux. [.
][Issus de la décomposition d'éléments
organiques comme le pétrole et le charbon, comprimés par la grande profondeur
et la température très basse de l'environnement, libérés lors de la création de
failles par l'activité tectonique, on trouve des gisements importants dans le
triangle des Bermudes et en mer du Nord
où certaines plateformes de forage, navires et aéronefs auraient été engloutis
ou pulvérisés par le même phénomène. On doit cependant noter que de nombreux
récits font état de grains blancs (très
violents orages localisés, sans que rien ne les annonce) dans ce secteur, comme
le relate le film Lame de fond. L'océanographe Simon Boxal[ ]du
National Oceanography Centre
Southampton de l'université de Southampton émet l'hypothèse que des vagues scélérates pourraient être à
l'origine de nombreuses disparitions de navires dans le triangle des Bermudes. On peut expliquer la disparition de cargos par un grain blanc, suivi de vagues scélérates qui auraient déplacé le bâtiment fort loin, vers la côte du golfe du Mexique (ce qui explique qu’on n’aurait pas retrouvé leur épave, faute d’avoir cherché au bon endroit) et ensuite par l’explosion d’une bulle de méthane qui aurait ouvert la coque et coulé le navire au fond.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire