lundi 17 avril 2017

L’étymologie du nom de Vercingétorix, du Vermandois (Veromandui), de Verdun des Mandubii (le Bugey) et d’Alesia ou Novalaise dans le Bugey.


L’étymologie du nom de Vercingétorix, du Vermandois (Veromandui), de Verdun (Veredu(i)m(a)n de Mandubii (le Bugey) et d’Alesia ou Novalaise dans le Bugey.
 Avant de me pencher sur les Boïens et sur leur déesse Gorgobina citée par César, j’avais tâtonné pour certaines étymologies, faute de connaître le nom de la déesse et son importance dans mes toponymes.. Par exemple, je dois revenir  sur l’étymologie d’Uxellodunum donnée dans mon blog sur Capdenac=Uxellodunum,
Etymologie de Uxellodunum
Le mot s’analyse en gorgsoduina, (g)orgs(o)du(ina )+dunum, éminence, pic, ugsolo + dunum,  .Il a subsisté peut-être à Puy d’Issolud et en tout cas aux deux Issoudun de la Creuse et de l’Indre,de (g)i(rg)sodu(ina), isodu  + dunum , de l’ibère vonum , montagne, cf. en langue sami ,ougro- finnoise, ougro- venant de ouigour et de hongrois, vone, montagne.
Maintenant je puis examiner les noms d’Orgétorix et de Vercingétorix. Orgétorix , le nom du chef helvète, vient de  de gorgoduina rix , le roi (gaulois riks, latin rex) de Gorgoduina, de (g)orgedu  reg-s, orgetorix. Le nom de Vercingetorig-s vient  d’une métathèse de na, ger°nagadu +reg, avec prolepse du second  g donnant verg°n(a)goturix, verkingetoriks
Etymologie du nom de la Gaule et du coq.
Le nom de la Gaule , Gallia, vient de gar(go)n)a,gallia et le coq , gallus,est appelé le lestrygon en grec, alektruôn , de laistrugon, peut-être à cause de sa crête rouge qui évoquait
la couleur et la forme à pointes du bonnet des Ibères , tel le bonnet phrygien (les Phrygiens avaient un fort substrat ibère).On peut songer aussi à d’autres oiseaux qui ont reçu le nom de lestrygon, pour quelque raison (migration,forme, couleur [la tunique verte des Phrygiens a peut-être servi d’élément métonymique pour l’alcyon , le martin-pêcheur ayant un plumage bleu-vert],…) qui m’échappe, tel l’alcedo ,nominatif pluriel alcedones, en latin, métathèse de aldekones, al comme la notant un l voyelle, lausthregones,  l’alcyon  en grec, du nominatif pluriel  alkuones ,de alcudones, identifié au martin-pêcheur (Alcedo hispida)  la cigogne, latin ciconia, sanskrit çucih, métathèse de kiku(onia), cf . le nom dans l’Odyssée du peuple thrace des Kikones, de (lai)strygones), le cygne , kuknos en grec.
Etymologie du nom des Veromandui , de Verodunum (Verdun) et des Mandubii
Il y a 4 Verdon et 5 Verdun en France dont Verdun -en -Lauragais, près de Carcassonne( de garsadu(i)na, karkasun) , lauragais venant d’une métathèse :  gorgoduina, (g) or, ol ,lo,  puis lonaga(b)i , loragai,. Tous les  Verdun  viennent  de Verodunum , le Verdun de la Meuse, attesté par Grégoire le Grand au V e siècle,  de  ger(g)o)du(i)n-a .
Le nom des Veromandui vient d’une métathèse de ma ou na dans Gorgoduima: gor(g)omadui, veromandui.
De même, le nom des mystérieux Mandubii (car ils conditionnent la localisation d’Alesia) vient de Gorgoduima, avec prolepse de ma,  gor(g)o donnant (vero)mandui, dui donnant duvi, dubi-i.  Or le nom des Mandubii a évolué pour donner le nom du Bugey aujourd’hui, d’une métathèse encore, dubii donnant budii. L’attraction du nom de la Savoie a joué et explique la métathèse.
Bugey vient de dubii, de duvi-i,  par métathèse  budi-i, avec l’adjonction du suffixe –ici, budici-i , bu(di)gi-i ,bugii,  Beugeis en 1372 sous des  formes diphtonguées influencée par le nom de la ville Belley,de Bellici, bellii ,   et Bugey , de bugeii qui apparaît en 1722. Le pays des Mandubii se trouve donc au petit Bugey actuel et lui a  laissé son  nom.  []Ce qu’on appelle le petit Bugey est le véritable Bugey originel, le pays des Mandubii,  et c’est là que se trouve en réalité notre Novalaise, l’Alesia assiégée par César. Voir Théodore Fivel,  L’Alésia de César près de Novalaise sur les bords du Rhône en Savoie,  1866, et pour plus de détails mon blog sur les Mandubii.    []
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Quelques autres noms : Nantua,  le nom de la Savoie et celui des Allobroges.  

Nantua vient de la métathèse de na dans gorgoduina , (gorgo)nadua
Le nom de la Savoie, attesté au IVe siècle, vers  354,   chez Ammien Marcellin, lib. XI, cap. XI, sous la forme Sapaudia , vient  de Sebudia.   
Il nous faut d’abord rapprocher certains noms et tenter de les élucider : les Segusiavi, les Sebusiani,dont le nom est  attesté par Cicéron, Pro Qinctio, , 80,  les Sedusii, un peuple germain dont nom attesté par César, I, 61.
 Le nom des  Segusiavi (cf . le nom de Segovie) qui ont fondé le Forum Segusiavorum,  le forum des Segusiaves, vient  de gorgodui(na),dui donnant siav-,  métathèse de (ga)ragusiavi , sagusiavi,
 Le nom des  Sebusiani vient aussi de  gorgodui(na),dui donnant siav- + ni ,   métathèse de (ga)ragusiavi , lagusiani, segusiani
Le nom des  Sedusii vient pareillement de gorgodui(na), du venant de dui.
Le nom des Allobroges vient aussi de gargoduina, par métathèse de garodui(na) , dui donnant brod, lagobrogi, cf. le nom des Ségobrigi,   brodgala, brogalo, labroga , comme Segustero, Sisteron , de lagudui, lagostero, , ou Brodgar, ou Brogar (métathèse  de gar(g)odui(na) ,garodui(na), dui donnant brod, duigaro, brodgaro) .
Nous pouvons enfin aborder le problème difficile du nom de la Savoie, Sapaudia, à rapprocher du nom des Sebusii et des Sedusii. Le nom de la Savoie, sapaudia, vient aussi   de Gorgobi(na), dui donnant diav, puis dia-,   métathèse de (ga)ragodia , lagodia , sagaudia, puis sauaudia, sapaudia, enfin savaui, savoie.
 Quant à Novalaise, qui ne signifie aucunement la nouvelle (latin nova, nouvelle) Alésia, le nom comprend deux éléments,  Alésia et le faux- ami  nova.
1 Alesia, Alisia ou Alixia,Aleria, Alalia,  est un nom d’origine ibère, ou plus exactement boïenne et vient du nom de leur déesse Gorgoduina. En Corse,  le nom d’Aleria, de alesia,  appelé Alaliè par Hérodote dans ses Histoires, I, 165, vers -425, doit être rapproché de Alesia , aujourd’hui  Novalaise au petit Bugey, l’Alésia de César . Alalia vient de (g)ara ou ala, notant  un l voyelle, +dui(n)a donnant lia , puis sia, alesia.
On retrouve ce s provenant d’un l et d’un dui dans Alixia, d’aligsia, de gorgoduina, (g)arag(o) +dui(n)a donnant lia , puis sia, donc alaksia ,aliksia , (forme de l’Alesia traditionnelle à Alise –Sainte- Reine), comme  Alaise, commune d’Eternoz ,, ,
2 Le faux ami Nove dans Novalaise.  
Novalaise signifie le lieu sacré de la terrible déesse Gorgobina, où l’on fait les sacrifices en son honneur  (ibèro- gaulois medhio pris pour le latin medium, qui signifie centre).Le toponyme composé  Novalaise signifie le lieu du sacrifice de l’orge, dit du cheval d’octobre à Rome (voir mon blog sur Les Chefs carnutes et le sacrifice de l’orge).
Le gaulois nova  ne veut pas dire neuve, nouvelle, comme l’homonyme latin, mais il désigne le lieu où l’on fait un sacrifice, medhu en sanskrit, qu’on retrouve dans le nom propre Epomeduos, celui qui fait le sacrifice du cheval epo).  Le gaulois (langue indo-européenne) est une langue riche en faux amis : medhuana ,de medhu, sacrifice, avec un suffixe adjectivant -ana, qui signifie (le lieu ) du sacrificed’où dérive  notre nova,  a été compris par Diodore comme par César au sens de qui est au milieu (latin medium, grec meson),  ce qui nous a valu la phrase de César  sur les druides qui se réunissent une fois par an au milieu , au centre de la Gaule chez les Carnutes, alors que son interlocuteur gaulois voulait seulement dire que les druides carnutes  se réunissaient  dans un Meduanum, lieu où se pratique  le sacrifice, le Bois de Moléans , comme les druides mandubii dans le sanctuaire de Novalaise.
Le contresens de Diodore de Sicile est une preuve de plus que nous sommes bien sur la bonne Alesia avec Novalaise,
puisqu’elle correspond à l’Alesia que Diodore avait en vue, ainsi que l’indique son contresens sur le centre (medio, nove) .Alésia est, écrit Diodorele centre religieux de toute  la Gaule  celtique : en réalité c’était  tout simplement en gaulois  le   sanctuaire (medhuano)  des Mandubii et, peut-être, de leurs  voisins immédiats, les Sebusii et les Savoyards. L’évolution phonétique a fait de medhuanum  Moléans en Eure-et-Loir   (le l de Moléans vient du d, comme celui du latin immolare, avec o bref, sacrifier),  Milan, Melun, Meung -sur- Loir près d’Orléans dans le Loiret et Neung –sur- Beuvron dans le Loir-et-Cher près de Romorantin. Les noms Meung et  Neung lllustrent l‘instabilité de la nasale,  m qui se transforme en n dans  les syllabes finales de toponymes comme  -nore (Izernore), -noz (Eternoz), -nave (Izernave) ou dans les initiales  comme nova.
 Pour la transformation en –euve,  -ove,  -ave  , -ore et –oz, citons Meuvaines, dans le Calvados, de medhuan,  Meuves en Eure-et-Loir (commune de Saint- Maur -sur -Loir), Mesves- sur- Loire dans la Nièvre près de Cosne, et rappelons  les  lois de Grimm sur l’identité de v, d, r, le z venant aussi d’un dh.   
 Neuvy-sur- Loire,  à 60 kilomètres de Nevers,vient de Novio-dunum e(ce n’est pas Nevers) ,  Noviodunum ne signifie pas la nouvelle éminence, ce qui d’ailleurs n’aurait guère de sens, ni même la nouvelle forteresse, mais l’éminence où l’on sacrifie.  


L’argument en faveur de notre Novalaise  tiré du discours du Gaulois Critognatus.
Dans le discours que rapporte César,  Critognat dit aux assiégés gaulois (VII, 77) : « Vous pouvez ignorer ce que sont devenus les peuples éloignés de vous ; mais, d’ici, regardez à vos pieds ( finitimam, superlatif, tout près) cette portion de la Gaule qui, réduite à l’état de  province romaine (Galliam … in provinciam redacta), privée de ses lois et de sa liberté,  courbée sous une servitude démunie de toute espérance, gémit sous la hache des licteurs. » Le texte de César devient chez un partisan d’Alise comme Germaine Roussel (collection 10-18) : « Regardez la Germanie [au lieu de la Gaule, Gallia !] toute proche qu’ils ont réduite en province » !
 Quel est le sens de  cette expression Gallia provincia chez César et quel pays désigne-t-elle,  puisqu ’Alésia devra obligatoirement en être proche? Théodore Fivel, dans L’Alésia de César près de Novalaise sur les bords du Rhône en Savoie,  1866, p.147,  écrit : « César appelle Provincia le territoire  qui dépendait nominalement de la suprématie romaine depuis les succès de Promptinus en 61 av. J.- C., mais qui n’était qu’une expression géographique comprenant à la fois
-la vieille Province [Provence] de Fabius Maximus, de la mer jusqu’à l’Isère et la Romanche,
-et la confédération des Allobroges, de l’Isère au Rhône.
Quand, au contraire, César veut distinguer la partie conquise  de celle  qui ne l’est pas, la région romaine de celle qui a conservé encore son autonomie, les peuples sujets de ceux qui avaient été récemment pacifiés  et ne semblaient pas encore montrer des dispositions favorables  vis-à-vis du peuple romain,  il se sert, chaque fois, de l’expression restrictive Gallia provincia », comme ici. Le pays voisin montré du doigt à ses  auditeurs  par Critognatus est donc le pays des Allobroges, vaincu, mais libre et frémissant, qu’il présente avec exagération comme entièrement conquis, « départementalisé » par Rome. Pour ce qui nous intéresse, Alésia est donc près de ces Allobroges (Savoie et Dauphiné) théoriquement indépendants et l’on comprend l’ironie cinglante de Th. Fivel, p.151, lorsqu’il écrit : « Restituons à la finitimam Galliam in Provinciam redacta son acception normale et sensée, au lieu de supposer Critognat montrant du haut du mont Auxois [à Alise-Sainte-Reine], à ses compagnons affamés, des plaines éloignées de plus de deux cents kilomètres [les plaines allobroges] ! »
Trois Romains et un Gaulois qui ont marqué la toponymie de Novalaise et prouvent qu’il s’agit bien de l’Alesia de César: César lui-même,  le  neveu  de César, le légat Lucius Caesar , Caius Antistius Reginus  et le  Gaulois  Vergasillaun.
1) On a Comba Juli, la combe ou vallée de Jules (Julii) César,  c’est-à-dire la vallée de Saint- Genix par où César est arrivé à Alésia, ainsi que le Mur de César, 
2) Le nom de la commune de Lucey, de Lucii, vient du génitif de   Lucius Caesar,  qui était chargé de surveiller les arrières de l’oppidum. « Les cohortes de Lucius qui occupaient le pays des Allobroges, écrit V. de Saint -Genis, avant l’arrivée de César, surveillaient sans aucun doute la vallée de Chambéry et fermaient les seuls défilés  par où les pauvres et rares habitants de ce pays auraient pu essayer de ravitailler l’oppidum. »
3) Les munitiones superiores , opposés aux munitiones campestres de Marc Antoine et de Trebonius. Vergasillaun , un des chefs  des Gaulois de l’armée de  secours, quitte avec 60000 hommes les hauteurs de Romagneu (de Romani), occupées par l’armée de secours et emploie 18 heures à ce mouvement tournant qui doit le placer devant le camp de  Reginius , aujourd’hui encore le camp de Régis (de Caius Antistius Reginus) dans la plaine d’Avressieux, devant le mas de Régis, c’est-à-dire le mur  de Caius Antistius REGInus , mas venant  du latin maceria, qui signifie mur de pierres sèches situé  au Château de Lès- Avressieux  (l’un des 23 castellum ou fortins).  
4 Vergasillaun , de gorgabina-la, gergabinala,  le nom de la déesse, a laissé son nom  dans les Portes de Chailly, de gallis, métathèse de (ver) gasil(aun).
Les Lingons.
Le  nom ancien de leur capitale,  la ville de Langres, de Lingonorum (civitas), la ville des Lingons, est  Andemanduum, de gorgoduima, ande, métathèse de dui,  man de ma, et dui –um
Le lieu-dit  Aux Lingonay, de Lingonici (près de La Bridoire), comme Longerey, de longirici , avec rhotacisme du n, dans la plaine d’Avressieux où a eu lieu justement le combat de cavalerie,  renvoie aux  cavaliers Lingones, ces Gaulois alliés de César, si importants pour les combats de cavalerie, notamment lors du combat de cavalerie qui eut lieu près de Monluel à la Colline sainte, à Port- Galland , de (gor)galaduina, .  On a trouvé, en creusant les fondations des piles et des culées du pont de Port- Galland, sur la rivière de l’Ain, des  armures de bronze doré qui ne peuvent appartenir  qu’aux cavaliers Lingons  qui, associés aux Germains, formaient le gros de la cavalerie de César.  On a recueilli au même endroit des glaives  romains, des fers de lance, des armes gauloises. Ces objets furent achetés sur ordre de Napoléon III et déposés au musée de Saint -Germain-en- Laye. Au livre VII, 63, lors de l’assemblée de Bibracte chez les Eduens , qui donne à Vercingétorix et non aux Eduens le commandement  suprême contre César, seuls avec les Rèmes et les Trévires, les Lingons sont absents. Alors que César explique que les Trévires étaient trop éloignés et trop  menacés par les Germains, il précise que les Rèmes restent fidèles à l’alliance romaine, mais n’éprouve pas le besoin d’expliquer l’absence des Lingons, qui va de soi : ils fournissent de forts contingents de cavalerie à César contre les autres Gaulois et permettent  à deux légions romaines de prendre leurs quartiers d’hiver chez eux  en -53 (VI,  44).

Le témoignage des lieux-dits.
Les Murailles (Muralia, remparts, à Montbel), les Muniers (muni[tion]es, remparts ), la Porta, la Mala Porta (Rochefort), le Camp (de César ) à Rochefort,  Vauxserre ( de  valla serrata,  remparts en forme de dents de scie ),à  Saint- Albin - de-  Vauxserre et à Saint-Martin- de- Vauxserre , renvoie à la palissade au-dessus de la levée de terre , comme la Serra, de serrata également (Saint- Béron), la Serra (Rochefort) , la Serraz (Montbel), la Sarra (Ayn).  Les Tours ( 5 toponymes : commune du Pont, de Sainte-Marie- d’ Alvey, Montbel, Ayn, Avressieux),  la Malo (dicta), (la vallée] maudite, Rotherens (du germanique roth, rouge,  le ruisseau sanglant,  et Saint- Maurice -de- Rotherens, le Champ de sang, les Sépultures de la bataille, le Champ de bataille, la Chapotière (de chapoter, cogner , frapper en ancien français),le Bert et le Bard  dans les  communes de Saint- Béron (ber =combat en gaulois) et d’Ayn , le  Bert (commune de la Bridoire ), les Bertières dans la commune de Rochefort, les Barres,  les  Barrières  et le Bret  dans la commune de Champagneuxx, la Taglia (de taille, action de frapper) dans les communes de La Bridoire et d’Ayn ,la Pugnière (de pugna, combat) dans la commune de Champagneuxx, Pignieu (Saint-Genix) ,de pugnosum ;  le Château (castellum, l’un des  23 de la ligne de défense initiale de César) dans la commune de Domessin , Châteauvieux (de castellum) et  un  château  lès- Avressieux dans la commune d’Avressieux , le Vieux Château  sur le sentier entre Chailles et le Pont,  Châtelard.
La Ville (Montbel) renvoie à l’emplacement de l’arx ou citadelle d’Alésia, tandis que la Grande Ville (Domessin) renvoie à la ville d’Alésia. Voir, pour les communes,  Relevé des noms de lieux dits dans Fivel, op. cit. , p. 161-164, édition numérique.

Nota Bene : Si l’on faisait appel à la technologie utilisant la lumière (Lidar) pour prospecter, autour de Novalaise en Savoie, en obtenant ,  par hélicoptère ou,mieux,  par drone, des levés  aéroportés [ et topobathymétriques dans le cas de Vanikoro (l’épave de la Boussole près du récif Makulumu  autour de l’îlot sableux Noungna de la passe des Esprits (des blancs), d’après le rapport du commandant Bonnet de 1956,   voir mes blogs sur Lapérouse, en particulier le scénario du naufrage de Lapérouse selon les insulaires  de Vanikoro . Il suffirait pour cela de s’adresse à la SHOM par exemple. On aurait alors des résultats sans appel et moins coûteux que les fouilles d’Alise. 



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