L’étymologie du nom de Vercingétorix, du Vermandois (Veromandui), de Verdun (Veredu(i)m(a)n de Mandubii (le Bugey) et d’Alesia ou Novalaise dans le Bugey.
Avant de me pencher sur les Boïens et sur leur déesse Gorgobina citée par César, j’avais
tâtonné pour certaines étymologies, faute de connaître le nom de la déesse et
son importance dans mes toponymes.. Par exemple, je dois revenir sur l’étymologie d’Uxellodunum donnée dans
mon blog sur Capdenac=Uxellodunum,
Etymologie de Uxellodunum
Le mot s’analyse en gorgsoduina, (g)orgs(o)du(ina )+dunum, éminence, pic, ugsolo + dunum, .Il a
subsisté peut-être à Puy d’Issolud et
en tout cas aux deux Issoudun de la
Creuse et de l’Indre,de (g)i(rg)sodu(ina),
isodu + dunum , de l’ibère vonum ,
montagne, cf. en langue sami ,ougro- finnoise, ougro- venant de ouigour et de
hongrois, vone, montagne.
Maintenant je puis examiner les noms d’Orgétorix et de
Vercingétorix. Orgétorix , le nom du
chef helvète, vient de de gorgoduina rix , le roi (gaulois riks, latin rex) de Gorgoduina, de (g)orgedu reg-s,
orgetorix. Le nom de Vercingetorig-s
vient d’une métathèse de na, ger°nagadu
+reg, avec prolepse du second g
donnant verg°n(a)goturix, verkingetoriks.
Etymologie du nom de la Gaule et du coq.
Le nom de la Gaule , Gallia, vient de gar(go)n)a,gallia
et le coq , gallus,est appelé le
lestrygon en grec, alektruôn , de laistrugon, peut-être à
cause de sa crête rouge qui évoquait
la couleur et la forme à
pointes du bonnet des Ibères , tel le bonnet phrygien (les Phrygiens avaient un
fort substrat ibère).On peut songer aussi à d’autres oiseaux qui ont reçu le
nom de lestrygon, pour quelque raison (migration,forme, couleur [la tunique
verte des Phrygiens a peut-être servi d’élément métonymique pour l’alcyon , le
martin-pêcheur ayant un plumage bleu-vert],…) qui m’échappe, tel l’alcedo ,nominatif pluriel alcedones, en latin, métathèse de aldekones, al comme la notant un l voyelle, lausthregones, l’alcyon en grec, du nominatif pluriel alkuones
,de alcudones, identifié au
martin-pêcheur (Alcedo hispida) la cigogne, latin ciconia, sanskrit çucih, métathèse
de kiku(onia), cf . le nom dans
l’Odyssée du peuple thrace des Kikones, de (lai)strygones), le cygne , kuknos
en grec.
Etymologie
du nom des Veromandui , de Verodunum (Verdun) et des MandubiiIl y a 4 Verdon et 5 Verdun en France dont Verdun -en -Lauragais, près de Carcassonne( de garsadu(i)na, karkasun) , lauragais venant d’une métathèse : gorgoduina, (g) or, ol ,lo, puis lonaga(b)i , loragai,. Tous les Verdun viennent de Verodunum , le Verdun de la Meuse, attesté par Grégoire le Grand au V e siècle, de ger(g)o)du(i)n-a .
Le nom des Veromandui vient d’une métathèse de ma ou na dans Gorgoduima: gor(g)omadui, veromandui.
De même, le nom des mystérieux Mandubii (car ils conditionnent la localisation d’Alesia) vient de Gorgoduima, avec prolepse de ma, gor(g)o donnant (vero)mandui, dui donnant duvi, dubi-i. Or le nom des Mandubii a évolué pour donner le nom du Bugey aujourd’hui, d’une métathèse encore, dubii donnant budii. L’attraction du nom de la Savoie a joué et explique la métathèse.
Bugey vient de dubii, de duvi-i, par métathèse budi-i, avec l’adjonction du suffixe –ici, budici-i , bu(di)gi-i ,bugii, Beugeis en 1372 sous des formes diphtonguées influencée par le nom de la ville Belley,de Bellici, bellii , et Bugey , de bugeii qui apparaît en 1722. Le pays des Mandubii se trouve donc au petit Bugey actuel et lui a laissé son nom. []Ce qu’on appelle le petit Bugey est le véritable Bugey originel, le pays des Mandubii, et c’est là que se trouve en réalité notre Novalaise, l’Alesia assiégée par César. Voir Théodore Fivel, L’Alésia de César près de Novalaise sur les bords du Rhône en Savoie, 1866, et pour plus de détails mon blog sur les Mandubii. []
]
Quelques autres noms : Nantua, le nom de la Savoie et celui des Allobroges.
Nantua vient de la
métathèse de na dans gorgoduina , (gorgo)nadua
Le nom de la Savoie,
attesté au IVe siècle, vers
354, chez Ammien Marcellin, lib.
XI,
cap. XI,
sous la forme Sapaudia , vient de
Sebudia.
Il nous faut d’abord
rapprocher certains noms et tenter de les élucider : les Segusiavi, les Sebusiani,dont le nom est
attesté par Cicéron, Pro Qinctio, , 80, les Sedusii,
un peuple germain dont nom attesté par César, I, 61.
Le nom des Segusiavi (cf . le nom
de Segovie) qui ont fondé le Forum
Segusiavorum, le forum des
Segusiaves, vient de gorgodui(na),dui donnant siav-,
métathèse de (ga)ragusiavi ,
sagusiavi,
Le nom des Sebusiani vient aussi de gorgodui(na),dui
donnant siav- + ni , métathèse de (ga)ragusiavi , lagusiani, segusiani
Le nom des Sedusii vient pareillement
de gorgodui(na), du venant de dui.
Le nom des Allobroges
vient aussi de gargoduina, par métathèse de garodui(na)
, dui donnant brod, lagobrogi, cf.
le nom des Ségobrigi, brodgala,
brogalo, labroga , comme Segustero,
Sisteron , de lagudui, lagostero, ,
ou Brodgar, ou Brogar (métathèse de gar(g)odui(na) ,garodui(na), dui donnant
brod, duigaro, brodgaro) .
Nous pouvons enfin aborder le
problème difficile du nom de la Savoie,
Sapaudia, à rapprocher du nom des Sebusii et des Sedusii. Le
nom de la Savoie, sapaudia, vient
aussi de
Gorgobi(na), dui donnant diav, puis
dia-,
métathèse de (ga)ragodia , lagodia , sagaudia, puis sauaudia, sapaudia, enfin savaui, savoie.
Quant à Novalaise,
qui ne signifie aucunement la nouvelle (latin nova, nouvelle) Alésia, le nom comprend deux éléments, Alésia
et le faux- ami nova.
1 Alesia, Alisia ou
Alixia,Aleria, Alalia, est un nom
d’origine ibère, ou plus exactement boïenne et vient du nom de leur déesse Gorgoduina. En Corse, le nom d’Aleria,
de alesia, appelé
Alaliè par Hérodote dans ses Histoires, I, 165, vers -425, doit être
rapproché de Alesia , aujourd’hui Novalaise au petit Bugey, l’Alésia de
César . Alalia vient de (g)ara ou ala, notant un l voyelle, +dui(n)a donnant lia , puis sia, alesia.
On
retrouve ce s provenant d’un l et d’un
dui dans Alixia, d’aligsia, de gorgoduina, (g)arag(o) +dui(n)a donnant lia , puis sia, donc alaksia ,aliksia , (forme de l’Alesia traditionnelle
à Alise –Sainte- Reine), comme Alaise,
commune d’Eternoz ,, ,
2 Le faux ami Nove dans Novalaise.
Novalaise signifie le lieu sacré de la terrible déesse
Gorgobina, où l’on fait les sacrifices en son honneur (ibèro- gaulois medhio pris pour le latin medium,
qui signifie centre).Le toponyme
composé Novalaise signifie le lieu du
sacrifice de l’orge, dit du cheval
d’octobre à Rome (voir mon blog sur Les
Chefs carnutes et le sacrifice de l’orge).
Le gaulois nova ne veut pas dire neuve, nouvelle, comme l’homonyme latin, mais il désigne le lieu où
l’on fait un sacrifice, medhu en
sanskrit, qu’on retrouve dans le nom propre Epomeduos, celui qui fait le sacrifice du cheval epo). Le gaulois (langue
indo-européenne) est une langue riche en faux amis : medhuana ,de medhu, sacrifice, avec un suffixe adjectivant -ana, qui signifie (le lieu ) du
sacrifice, d’où dérive notre nova,
a
été compris par Diodore comme par César
au sens de qui est au milieu (latin medium, grec meson), ce qui nous a valu
la phrase de César sur les druides qui
se réunissent une fois par an au milieu
, au centre de la Gaule chez les Carnutes, alors que son interlocuteur gaulois
voulait seulement dire que les druides carnutes
se réunissaient dans un Meduanum, lieu où se pratique le sacrifice, le Bois de Moléans , comme les druides mandubii dans le
sanctuaire de Novalaise.
Le contresens de Diodore de
Sicile est une preuve de plus que nous sommes bien sur la bonne Alesia avec Novalaise,
puisqu’elle correspond à
l’Alesia que Diodore avait en vue, ainsi que l’indique son contresens sur le
centre (medio, nove) .Alésia est, écrit Diodore, le
centre religieux de toute la Gaule
celtique : en réalité c’était
tout simplement en gaulois le
sanctuaire (medhuano) des Mandubii et, peut-être, de leurs voisins immédiats, les Sebusii et les
Savoyards. L’évolution phonétique a fait de medhuanum Moléans en Eure-et-Loir (le l de
Moléans vient du d, comme celui
du latin immolare, avec o bref,
sacrifier), Milan, Melun, Meung -sur- Loir près d’Orléans dans le Loiret et Neung
–sur- Beuvron dans le Loir-et-Cher près de Romorantin. Les noms Meung
et Neung
lllustrent l‘instabilité de la nasale, m qui se transforme en n dans les syllabes finales
de toponymes comme -nore (Izernore), -noz (Eternoz), -nave
(Izernave) ou dans les initiales comme
nova.
Pour la transformation en –euve,
-ove, -ave , -ore et –oz, citons
Meuvaines, dans le Calvados, de medhuan, Meuves en Eure-et-Loir (commune de Saint-
Maur -sur -Loir), Mesves- sur- Loire dans la Nièvre près de Cosne, et rappelons
les
lois de Grimm sur l’identité de v, d, r, le z venant aussi d’un dh.
Neuvy-sur-
Loire, à 60 kilomètres de Nevers,vient de Novio-dunum e(ce n’est pas Nevers) , Noviodunum
ne signifie pas la nouvelle éminence, ce qui d’ailleurs n’aurait guère de
sens, ni même la nouvelle forteresse, mais l’éminence où l’on sacrifie.
L’argument en
faveur de notre Novalaise tiré du discours du Gaulois Critognatus.
Dans le discours que rapporte
César, Critognat dit aux assiégés
gaulois (VII, 77) : « Vous pouvez ignorer ce que sont devenus
les peuples éloignés de vous ; mais, d’ici, regardez à vos pieds ( finitimam, superlatif, tout près) cette
portion de la Gaule qui, réduite à l’état de
province romaine (Galliam … in provinciam redacta),
privée de ses lois et de sa liberté,
courbée sous une servitude démunie de toute espérance, gémit sous la
hache des licteurs. » Le texte de César devient chez un partisan d’Alise
comme Germaine Roussel (collection 10-18) : « Regardez la Germanie [au lieu de la Gaule, Gallia !] toute proche qu’ils ont
réduite en province » !
Quel est le sens de cette expression Gallia provincia chez César et quel pays désigne-t-elle,
puisqu ’Alésia devra obligatoirement en être proche? Théodore Fivel, dans L’Alésia de César près de Novalaise sur les
bords du Rhône en Savoie, 1866, p.147, écrit : « César
appelle Provincia le territoire qui dépendait nominalement de la suprématie
romaine depuis les succès de Promptinus en 61 av. J.- C., mais qui n’était
qu’une expression géographique comprenant à la fois
-la vieille Province [Provence] de Fabius Maximus, de la mer
jusqu’à l’Isère et la Romanche,
-et la confédération des
Allobroges, de l’Isère au Rhône.
Quand, au contraire, César
veut distinguer la partie conquise de
celle qui ne l’est pas, la région
romaine de celle qui a conservé encore son autonomie, les peuples sujets de ceux qui
avaient été récemment pacifiés et ne
semblaient pas encore montrer des dispositions favorables vis-à-vis du peuple romain, il se sert, chaque fois, de l’expression
restrictive Gallia provincia »,
comme ici. Le pays voisin montré du
doigt à ses auditeurs par Critognatus est donc le pays des
Allobroges, vaincu, mais libre et frémissant, qu’il présente avec
exagération comme entièrement conquis, « départementalisé » par Rome.
Pour ce qui nous intéresse, Alésia est donc près de ces Allobroges (Savoie et
Dauphiné) théoriquement indépendants et l’on comprend l’ironie cinglante de Th.
Fivel, p.151, lorsqu’il écrit : « Restituons à la finitimam Galliam in Provinciam redacta
son acception normale et sensée, au lieu de supposer Critognat montrant du haut
du mont Auxois [à Alise-Sainte-Reine], à ses compagnons affamés, des plaines
éloignées de plus de deux cents kilomètres [les plaines allobroges] !
»
Trois Romains et un Gaulois qui ont marqué la
toponymie de Novalaise et prouvent qu’il s’agit bien de l’Alesia de César: César
lui-même, le neveu
de César, le légat Lucius Caesar , Caius Antistius Reginus et
le Gaulois Vergasillaun.
1) On a Comba Juli, la combe ou vallée de Jules (Julii) César, c’est-à-dire la vallée de Saint- Genix par où
César est arrivé à Alésia, ainsi que le
Mur de César,
2) Le nom de la commune de Lucey, de Lucii, vient du génitif de Lucius Caesar, qui était chargé de surveiller les arrières de
l’oppidum. « Les cohortes de Lucius qui occupaient le pays des Allobroges,
écrit V. de Saint -Genis, avant l’arrivée de César, surveillaient sans aucun
doute la vallée de Chambéry et fermaient les seuls défilés par où les pauvres et rares habitants de ce
pays auraient pu essayer de ravitailler l’oppidum. »
3) Les munitiones superiores , opposés aux munitiones campestres de Marc Antoine et de Trebonius. Vergasillaun
, un des chefs des Gaulois de l’armée de
secours, quitte avec 60000 hommes les
hauteurs de Romagneu (de Romani), occupées par l’armée de
secours et emploie 18 heures à ce mouvement tournant qui doit le placer devant
le camp de Reginius , aujourd’hui encore le camp de Régis (de Caius Antistius Reginus) dans la plaine d’Avressieux, devant
le mas de Régis, c’est-à-dire
le mur de Caius Antistius REGInus , mas venant du latin maceria, qui signifie mur de pierres
sèches situé au Château de Lès- Avressieux (l’un
des 23 castellum ou fortins).
4 Vergasillaun
, de gorgabina-la, gergabinala, le nom de la déesse, a laissé son nom
dans les Portes de Chailly, de gallis, métathèse de (ver) gasil(aun).
Les Lingons.
Le nom ancien de leur capitale, la ville de Langres, de Lingonorum (civitas), la ville des Lingons, est Andemanduum, de gorgoduima, ande, métathèse
de dui,
man de ma, et dui –um
Le lieu-dit Aux
Lingonay, de Lingonici (près de
La Bridoire), comme Longerey, de longirici , avec rhotacisme du n, dans la plaine d’Avressieux où a eu
lieu justement le combat de cavalerie, renvoie aux
cavaliers Lingones, ces
Gaulois alliés de César, si importants pour les combats de cavalerie, notamment
lors du combat de cavalerie qui eut lieu près de Monluel à la Colline sainte, à
Port- Galland , de (gor)galaduina, . On a trouvé, en creusant les fondations des
piles et des culées du pont de Port- Galland, sur la rivière de l’Ain, des armures de bronze doré qui ne peuvent
appartenir qu’aux cavaliers Lingons qui, associés aux Germains, formaient le gros
de la cavalerie de César. On a recueilli
au même endroit des glaives romains, des
fers de lance, des armes gauloises. Ces objets furent achetés sur ordre de
Napoléon III et déposés au musée de Saint -Germain-en- Laye. Au livre VII, 63,
lors de l’assemblée de Bibracte chez les Eduens , qui donne à Vercingétorix et
non aux Eduens le commandement suprême
contre César, seuls avec les Rèmes et les Trévires, les Lingons sont absents.
Alors que César explique que les Trévires étaient trop éloignés et trop menacés par les Germains, il précise que les
Rèmes restent fidèles à l’alliance romaine, mais n’éprouve pas le besoin
d’expliquer l’absence des Lingons, qui va de soi : ils fournissent de forts
contingents de cavalerie à César contre les autres Gaulois et permettent à deux légions romaines de prendre leurs
quartiers d’hiver chez eux en -53 (VI, 44).
Le témoignage des lieux-dits.
Les Murailles (Muralia, remparts,
à Montbel), les Muniers (muni[tion]es, remparts ), la Porta, la Mala Porta (Rochefort), le
Camp (de César ) à Rochefort, Vauxserre ( de valla
serrata, remparts en forme de dents
de scie ),à Saint- Albin - de- Vauxserre et à Saint-Martin- de- Vauxserre , renvoie
à la palissade au-dessus de la levée de terre , comme la Serra, de serrata
également (Saint- Béron), la Serra (Rochefort)
, la Serraz (Montbel), la Sarra (Ayn). Les Tours
( 5 toponymes : commune du Pont, de Sainte-Marie- d’ Alvey, Montbel,
Ayn, Avressieux), la Malo (dicta), (la vallée] maudite, Rotherens
(du germanique roth, rouge, le ruisseau sanglant, et Saint-
Maurice -de- Rotherens, le Champ de
sang, les Sépultures de la bataille,
le Champ de bataille, la Chapotière (de chapoter,
cogner , frapper en ancien français),le Bert
et le Bard dans les
communes de Saint- Béron (ber =combat en gaulois) et d’Ayn , le
Bert (commune de la Bridoire ), les Bertières dans la commune de Rochefort, les Barres, les Barrières et le Bret dans la commune de Champagneuxx, la Taglia (de taille, action de
frapper) dans les communes de La Bridoire et d’Ayn ,la Pugnière (de pugna,
combat) dans la commune de Champagneuxx, Pignieu
(Saint-Genix) ,de pugnosum ; le
Château (castellum, l’un des 23 de la ligne de défense initiale de César)
dans la commune de Domessin , Châteauvieux
(de castellum) et un château
lès- Avressieux dans la commune d’Avressieux , le Vieux Château sur le sentier entre
Chailles et le Pont, Châtelard.
La Ville (Montbel)
renvoie à l’emplacement de l’arx ou
citadelle d’Alésia, tandis que la Grande
Ville (Domessin) renvoie à la ville d’Alésia. Voir, pour les communes, Relevé
des noms de lieux dits dans Fivel, op.
cit. , p. 161-164, édition numérique.
Nota Bene :
Si l’on faisait appel à la technologie utilisant la lumière (Lidar) pour prospecter, autour de
Novalaise en Savoie, en obtenant , par
hélicoptère ou,mieux, par drone, des
levés aéroportés [ et topobathymétriques dans le cas de Vanikoro (l’épave
de la Boussole près du récif
Makulumu autour de l’îlot sableux
Noungna de la passe des Esprits (des blancs), d’après le rapport du commandant
Bonnet de 1956, voir mes blogs sur
Lapérouse, en particulier le scénario du naufrage de Lapérouse selon les
insulaires de Vanikoro . Il suffirait pour cela de
s’adresse à la SHOM par exemple. On aurait alors
des résultats sans appel et moins coûteux que les fouilles d’Alise.
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