Liste des Réunionnais immigrés
en Calédonie.
A Tante Gaby, dont ma
mère m’a donné le prénom : Gabriel
J’ai vécu mon enfance dans un milieu réunionnais une Réunionnaise, dans ce monde si attachant
des « soso » (de songe songe répété , autre nom du
taro), des brèdes (altération de blette,
ou bette, du gréco-latin blinum , originaire de Bletisa au Portugal), des achards, des rougaïes de mangues vertes, des chouchoutes ( chayotes ou
christophines), des gale-y-pète, des choux de Chine , des margoses, de l’apayana,
des ( bananes- ) figues, ,etc. Les
créoles de Saint-Louis, tribu où l’on
parle non pas une langue mélanésienne, mais créole (le tayo), ont fait
l’ objet d’une étude par une Néo-Zélandaise ,Karin Speeddy,Colons,
Créoles,et coolies, l’immigration réunionnaise en Nouvelle-Calédonie (XIX e siècle) et le tayo
de Saint-Louis 2007, avec préface de B. Brou, tableaux p.95, 99 ,135
et 137. Le vocabulaire (exemple :
je vais péter chez Barrau, latinisme
du latin peto, se rende d’un point à
un autre) comme la syntaxe sont parfois
archaïques : « c’est pour moi
manger », infinitif de but décliné comme « bois bander » au lieu de
bois pour bander, et selon la
personne : « c’est pour moi manger .
Les esclaves furent
émancipés en 1848 par la loi Schoelcher, mais auparavant ils n’avaient pas accès au mariage et ils n’avaient pas d’état-civil , portant simplement un nom emprunté souvent à
la mythologie grecque et souvent altéré comme Evenor, Marsyas (Marsou) , Dariys, Elpénor (Elphège), Agénor (Ozénor),
Eros , Midas (Médas) (le roi qui changeait en or tout ce qu’il touchait en
or , par allusion à la Côte d’or africaine
d’où venaient certains esclaves) ;
Mithridate (adaptation pleine d’humour d’un nom
chaambi , métathèse de Meterid ou Métrid,, à partir de Ahmed
ben Metlili , les Chaamba , pluriel de Chaambi,
étant une tribu nomade blanche du Sahara
septentrional, adversaire des touareg et
alliée de la France dans sa pacification du Sahara) ; ou bien un nom d’origine géographique faisant allusion
à Madagascar [Madécasse, Mascaraigne, Malgache , anglais Malagasy], ou bien un
simple prénom chrétien comme Adèle ou Zacharie.
Je veux expliquer l’origine méconnue de
l’expression « pattes jaunes »
que les Calédoniens , -par déni ? –croient désigner un merle des Moluques
importé par les Réunionnais à l’usine de rhum de Bourail, Bakouya, En réalité,
l’expression fait allusion à ceux qui plantaient du curcuma médicinal (et dont les
mains en étaient jaunes, anciens esclaves venant de Madagascar par l’île de
France (Maurice) jusqu’à l’île Bourbon,(Réunion) où ils
« blanchirent » et s’intégrèrent par mariage avec des manzoreiiles
((altération créole du sabir anglais Man
Foreign, homme étranger). Ceci explique le teint cuivré de certains
descendants, par opposition aux « pattes noires » des descendants d’Indiens
ou aux pattes blanches des blancs.
ALe métissage et l’origine servile , même si de nombreux
affranchissements individuels avaient eu lieu avant la loi abolissant
l’esclavage et même si les esclaves
amenés en France perdaient leur statut
servile tout en gardant leur sobriquet précédent, constituent un passé
éventuellement douloureux qui m’a amené à des omissions volontaires.
Voici d’ailleurs la liste
des nobles de la Réunion émigrés en Calédonie dressée par ma femme :
1 Adam de Villiers Charles, né à Sainte-Suzanne à la Réunion, le
26.10.1850 selon acte de notoriété , du lundi 2.074.1888, ; fils de Charles Adam de Villiers et de
Caroline Corday, décédés à Saint-Benoît, hôtelier, demeurant à Dumbéa,actes de
naissance le 1er en 1887, le b2e en 10872. S-23w6A-G6 (1888)
2 de Gaillande
3 de Greslan Evenor Henri,époux
de Minnie Beck, mort à Nouméa, le 4
septembre 1900, acte 174, propriétaire à Dumbéa, , né le 7 mars 1839 à
Saint-Denis, fils de feu Prosper et de
feue Délie Azéma,
5 Routier de Granval, écuyer, chevalier de Saint-Louis
6Thibault de
Chanvallon, Désiré François , né le 5 janvier 1853 à Saint-Denis de la
Réunion,mort à Nouméa, le 1er avril 1878, acte 99, employé de commerce à Nouméa, fils de
François Numa Thibault de Chanvallon et de Félicité Mérandon, vivants au
25.04.1877, mariage le 25 avril 1877
avec Marie Fanny Renaud, domiciliée au Mont Dore, née le 12 avril 1854 à
Saint-Denis de la Réunion, fille de Bertrand Renaud , capitaine au long
cours (frère Numa de 31 ans ,clerc
de notaire)et de Marie Pauline Hacquard
7de Villeneuve Charles,
né le 20.041.1812 à l’île Bourbon, gardien à Yahoué, fille de Rosemont François
de Villeneuve et de Marie Fecher.
Liste des autres
Réunionnais émigrés en Calédonie :
Adam
Adèle, Irma, d’origine malgache, femme Medéric. Morte à Nouméa le 29
juin 1872. Comparants : Joseph Evenor, 26 ans , et Balmain, 23 ans, arrivé
par la Néréïde le 28.12.1871 ;
domicilié à Koé ( Dumbéa) , propriété Joubert. Un seul témoin Balmain.
Adrien,
Aillaud,
Albaret,
Alizart, de Eléazar nom biblique ;,
Ambo
Amédée
Amourdon, Rance 24
mars 1871
Antoine Pierre,
Nayagon Antony
Armand,
Asapin,
Balmain Maurice , témoin au décès de Irma Adèle,
femme Medéric
Bataille, par la Néréïde,
le 28.12.1871, Moniteur 1872
Beaucourt,
Beck
Bellanger, Rance , 24
mars 1871
Berconet,
Bernier, Rance 24
mars 1871, linguiste très original (Etude métaphysique des langues mélanésiennes)
Bertin,
Bonnet de Larbogne
Botari
Boudana Adrakan
Boucher,
Bouillier,
Bourgine, Rance 24
mars 1871
Bouvier,
Bouyé,
Boyer
Brajeul
Brevant M . et
Mme 1 enfant, Rance 24 mars 1871
Broume,
Brulle, M ; et Mme, 3 filles, Rance 24 mars 1871
Brunet,
Bruguier,
Buttgié,
Cabrié,
Cadet, par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur 1872
Cahen ,
Calmel,
Carré,
Casineny
Catan,
Cayla, Charles, par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur
1872
Cazeau André Frédéric ,par
la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur 1872
Constant , Joseph, , par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur
1872
Cédrat, de
Kaïcédrat (Khaya Senegalensis)
, arbre pouvant atteindre plus de 30 mètres de haut et servant d’arbre à
palabres ; marque que l’esclave , noir, vient de Dakar (Sénégal).
Eïa pour le Kaïlcédrat
royal!
ô lumière amicale
ô fraîche source de la lumière
ceux qui n'ont inventé ni la poudre ni la boussole
ceux qui n'ont jamais su dompter la vapeur ni l'électricité
ceux qui n'ont exploré ni les mers ni le ciel
mais ceux sans qui la terre ne serait pas la terre
gibbosité d'autant plus bienfaisante que la terre déserte
davantage la terre
silo où se préserve et mûrit ce que la terre a de plus terre
ma négritude n'est pas une pierre, sa surdité ruée contre la clameur du jour
ma négritude n'est pas une taie d'eau morte sur l'œil mort de la terre
ma négritude n'est ni une tour ni une cathédrale
elle plonge dans la chair rouge du sol
elle plonge dans la chair ardente du ciel
elle troue l'accablement opaque de sa droite patience.
Eia pour le Kaïlcédrat royal !
Eia pour ceux qui n'ont jamais rien inventé
pour ceux qui n'ont jamais rien exploré
pour ceux qui n'ont jamais rien dompté
mais ils s'abandonnent, saisis, à l'essence de toute chose
ignorants des surfaces mais saisis par le mouvement de toute chose
insoucieux de dompter, mais jouant le jeu du monde
véritablement les fils aînés du monde
poreux à tous les souffles du monde
aire fraternelle de tous les souffles du monde
lit sans drain de toutes les eaux du monde
étincelle du feu sacré du monde
chair de la chair du monde palpitant du mouvement même du monde !
ô fraîche source de la lumière
ceux qui n'ont inventé ni la poudre ni la boussole
ceux qui n'ont jamais su dompter la vapeur ni l'électricité
ceux qui n'ont exploré ni les mers ni le ciel
mais ceux sans qui la terre ne serait pas la terre
gibbosité d'autant plus bienfaisante que la terre déserte
davantage la terre
silo où se préserve et mûrit ce que la terre a de plus terre
ma négritude n'est pas une pierre, sa surdité ruée contre la clameur du jour
ma négritude n'est pas une taie d'eau morte sur l'œil mort de la terre
ma négritude n'est ni une tour ni une cathédrale
elle plonge dans la chair rouge du sol
elle plonge dans la chair ardente du ciel
elle troue l'accablement opaque de sa droite patience.
Eia pour le Kaïlcédrat royal !
Eia pour ceux qui n'ont jamais rien inventé
pour ceux qui n'ont jamais rien exploré
pour ceux qui n'ont jamais rien dompté
mais ils s'abandonnent, saisis, à l'essence de toute chose
ignorants des surfaces mais saisis par le mouvement de toute chose
insoucieux de dompter, mais jouant le jeu du monde
véritablement les fils aînés du monde
poreux à tous les souffles du monde
aire fraternelle de tous les souffles du monde
lit sans drain de toutes les eaux du monde
étincelle du feu sacré du monde
chair de la chair du monde palpitant du mouvement même du monde !
Aimé
Césaire, Cahier d'un retour au pays natal
il est désigné sous les noms de « hay » en Wolof, « dala » en Bambara, « bu
kay » en Mandingue, « kail » en
Peul, « ngarin » en Serer et « kuka » en Maure
Célière,
Celestin, Emile
Charlot, voir Ovide
Charpiot
Chassagne Raphaël ,né à Saint-Denis, 28 ans en10877, ;fils
de feu
Chassagne et de feue
Cormea, décédé à 208 ans à la Ouaménie, le 8 juillet 1877, acte 6
Chatel, Léopold
Chauvette,
Chevalier,
Clain,
Clémenceau, Antoine
Augustin, décédé le 30.09.1896 à Nouméa acte 158, colon aux
Hébrides, né le 30.11.1851 à
Saint-Denis, fils de Pierre Hippolyte Camille et de Claire Antoinette Roustan , domicilés à Saint-Denis.
Colette,
Cologon (altération du nom Coëtlogon)
Colmet, Marie Louise Augustine née le 15 avril 1859 à Saint-Denis, fille de
Auguste Colmet et de Marie Louise De
Langlard , domiciliés à Païta.
Combien Louis, par la Néréïde,
le 28.12.1871, Moniteur 1872
Compin Rance 24
mars 1871
Condoya
Corméa, voir Chassagne
Cybou,
Dalleau altération de Dallain
Dargaud
Darius,
De Balmanin
De Gaillande,
De Greslan,
De Keranval Aimé,
De Kervéguen
De Nas de Touris
De Villeneuve,
De Langlard, voir Colmet Marie Louise, domicilié à Païta.
Delval,
Denage,
Denis,
Dercourt
Deschamps Joseph Eugène, né le 12 septembre 1836 à Saint-Denis,
mort le 27 mai1914 à Nouméa, marié le 19 mars 1862 à Saint Denis avec Marie Mathilde Suzanne Alizart, née le 26 août 1842 à Saint-Denis, morte le 9
février 1905 à Nouméa, d’où 6 enfants, dont Emile Julien Deschamps (1879-1947),
marié à Blanche Elie Cécile Cormier
fille de communard d’où Geneviève dite Ginette Hermance Deschamps mariée à
Pierre Duchosal,, fils de Léon Duchosal
et de Jeanne Ragot. Léon a pour frère Georges, directeur de la maison Barrau, marié à Reine
Rambaud (qui avait épousé Angélique Ragot) et pour sœur Florence, épouse
Lecomte. Les parents de Georges, Florence et Léon sont une Marthe Mullens Gather (voir
les Irlandais), fille de William Henry Gater et de Marthe Mullens, et un Pierre Duchosal dont on
trouve trace à Lifou comme témoin. Mullens est originaire de Fermanagh
en Irlande, et l’épouse d’un Gather, puis de Pierre Duchosal, qui est d’abord
en 1889 l’époux d’une Thérèse Boeuf domiciliée
à Nouméa. De James Pentland, ingénieur électricien, mort à Sydney le 20 avril 1889 et de la Française Thérèse Boeuf est née le 10 juin 1888 à
Sydney Florence Madeleine Thérèse
Pentland . Le nom Duchosal
signifie du four à chaux, en latin calcaria,
féminin pris pour un neutre,
calcarium .
Desjardins,
Desmaret
Desruisseaux Advisse ,
Devaud Pierre, par la
Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur 1872
Dijou,André avec sa femme , par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur
1872
Diomat,, femme et 4 enfants
Doussaniau Rance 24
mars 1871
Douyère,
Dubain,
Duboisé de Ricquebourg
Dubuisson
Durand,
Elphège,
Ely (de Elie) Pierre
Equerre
Evenor Joseph
Ferrand
Falais
Faucher,
Fayet
Ferrand Louis, par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur 1872
Ferrando Louis Antoine ,fils de feu Jean Ferrrando,
commerçant , et de Henriette Henry, né
le 17 mai 1842 à Saint-Denis, marié le 30 septembre 1882 à Nouméa , acte 26, avec
Marie Catherine Mullens , voir
Duchosal. Témoins Jean –MarieThom de
Langlade, ex-commissaire de la marine, 37 ans, interprète Madame Louis Lèques
(Marie ne parle pas français). voir Mullens,
Irlandais.
Festin Toussaint , MME et 6 enfants , par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur 1872
Firman
Florimond
Foucher
Frias
Fritzgerald
Fulbert
Galland
Garçon,
Geza t
Gillet M. et Mme Rance
24 mars 1871
Gillot de l’Etang
Gisnet,
Gondin
Goudin Marie-Madeleine, née le 14 février 1867 à Saint-Paul
de la Réunion fille de Guilla ume Goudin, commerçant, et de
Pauline Berrault, mariage avec Arsène
Abel Marie Choisé, né le 18 février 1855 à Ambrières-les-Vallées (Mayenne),
fils de Arsène Théodore Choisé et de Perrine Henriette Leray, témoin son
beau-frère Joseph Marie Auguste Leyraud, affilié aux Pentecost, voir la
biographie de Denyse-Anne Pentecost.
Gouët
Gouthier
Guéroult
Grandidier
Gravina Marie Clémens
, veuve de Gustave Saint-Ange Charitable, née le 9 septembre 1856 à Saint-Benoît de la
Réunion, fille de Clemen Gravina, charpentier, et de Gériande Ignas, mariée à Nouméa le 13 septembre 1886
avec Léon Victor
Colardeau, né le 1er mars 1859 à Mortiers-lès – Leps (lès
Laon? ), Aisne, fils de Victor Colardeau, maçon, et de Elisa Lhotelier
Grenier,
Grondin
Guépy
Guichard, M. et MME
dont fils épouse Luce Bonnard remarié à Dehaen, fille Micheline Guichard épouse
Cuer, , Jura 16 avril 1872
Guérin Jura 16
avril 1872
Guéroult Séraphin, Ernest Louis, mineur de la Compagnie de
la Balade, né le 24 janvier 1843 à Saint-Denis, décès à Ouégoa dans le magasin
au minerai de la compagnie minière, acte de décès n°9,du 11 février 1877, fils de Séraphin Louis Guéroult
et de Monique Pierre Victor, demeurant à Ouégoa, cf. Ragot
Guilloteau
Gustave
Hacquard
Héros
Heuvrond,
Hopts ou
Ops
Huet, M. et MME, 2
enfants Jura 16 avril 1872
lmbault
Isnard
Jagda,,
Jamissot M ., et
3 enfants Rance 24 mars 1871
Jean-Baptiste dit Doudoute
Jolibois
Jonquet
Jore
Joson Adrien
Kabar,
Kirchenin
Koch
Laborie
Alexandre et Fortuné
Henri Lachaise
Lafargue
Lamaison
Lamarque
Larose
Lamaison
Lathumie
Latouche
Lauratet
Laure , Emile
Auguste Séraphin Bienvenu, directeur de la Compagnie Calédonienne des
Nouvelles-hébrides, né le 8 mars 1865à Sainte-Suzanne, fils de Louis Thomas Laure, docteur en médecine,
chevalier de la Légion d’honneur, et de Mélanie Adélaïde Cémazy, domiciliés à Sydney, marié le 18 avril 1892 , acte 15, à Nouméa
avec Anna Louisa Higginson, née le
16 novembre 1869 à Nouméa, fille de John Higginson, propriétaire, actuellement
absent, et de Brigitte Greer, d’où
une fille Jeanne Andrée Valérie Laure, née le 1.10.1894, acte 137, et mariée le
25.09.1916 à Paris 1915 à Paris , 16e, avec André Robert Canolle Louis
Lebon M. et Mme née Hoarau
Lebon Melle (qui épousera
un parent des Laville-Leroux) Rance 24 mars 1871
Lecomte Aimé (marié à
une demoiselle Florence Duchosal, dont la
mère est née Gather, voir Deschamps), par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur
1872
Leroy
Lebihan
Legac
Léglise Louis Victor, né le 18 juillet 1859 à Saint-Benoît,
acte 176, fils de JB Léglise , commissaire de police , et de Constant Marie Dauphine, marié le 17
décembre 1904 à Nouméa avec Marie Aimée Hermine Alphonse Vincent , d’où Marie-Joséphine Lucie Léglise(1905-1929), mariée le 11 février 19109
à Nouméa avec Paul-Louis Martin.
Lepervenche
Lepeut (à Ouagap, marié à une Mélanésienne, dont Bernard
Lepeu)
Lerichard
Leriche Mme Charlotte
et 5 enfants, par la Néréïde, le
28.12.1871, Moniteur 1872
Louvet
Magnien de Magnienville
Maillet
Maillou
Maillot
M. Malignon (Houaïlou)
Jura 16 avril 1872
Maradan Sophie, épouse Saint-Lys Joseph
Maridas
Marchand
Marcus
Mariette
Marsou , Marsyas, Marsias ?)Martin
Maurin Anais MME
Mayana Marie Monette
(Monne ), née à Sainte-Marie de la Réunion,
de père inconnu et de Minati, mariage à Nouméa le 3 mars 1884 à Dumbéa
acte 1 ,avec Tancrède Laurent Siffroy Mathieu, né à Saint-Ferréol ,dans la
Drôme en septembre 1835, fils de François Xavier Mathieu et de feue
Anne Garcin
Médéric ou Mederiès
Michel
Michelin
Michin- Crescent,, charpentier, né à la Réunion, mort à la Ouaménie ( le Coat
) le 12 septembre 1877, acte 7 de Bouloupari
Miquel François, par la Néréïde,
le 28.12.1871, Moniteur 1872
Mitride
Montard
Montolard
Ernest Montroze,
Mourland
Moullin Bertrand , par la Néréïde,
le 28.12.1871, Moniteur 1872
Mounoussamy
Murch
Muret, femme avec 2
enfants : 1 fille mariée à Maillot, I fils marié à Dargaud. Jura 16 avril 1872
Nègre
Nézet
Nau Adèle Julie , mariage avec Venturini Richard, aux Loyauté, acte
1, Lifou, Chépénéhé, le 23 juin 1877, agent du télégraphe à Canala, 27 ans , né à Urtaca , canton de Lama, fils
de Maurice Venturini, mort à Urtaca, canton de Lama,et de Sacra Marie Cesari, propriétaire à Urtaca, avec Adèle Julie Nau, 22 ans, née le 10
janvier 1855 à Saint-Denis de la Réunion,demeurant à Chépénéhé chez sa mère et
ses frères , fille de Pierre Julien Nau,
agent de services, et d’Adèle Félicie
Grenard, témoin Léon de La Charlerie, commissaire à bord de l’Adelah, 23 ans.C
Nodet ou Nauda Rance 24 mars 1871, M. et mme
Offlaville
Orthasie (ou Orthosie).
Ovide Louis
Evenor, né le 15 mars 1858 à Saint-Denis, fils de Evenor Ovide et de Marguerite
Charlot, marié à la Ouaménie , le 18 novembre 1878, acte28 Bouloupari
avec Marie Louise Augustine Colmet, née le 15 avril 1859 à
Saint-Denis, fille de Auguste Colmet
et de Marie Louise Delanglard , domiciliés à Païta.
Ozénor,
Ozoux
Paché
Parodi,
Patrick
Paul
Payandy
Payet Denis , par la Néréïde,
le 28.12.1871, Moniteur 1872
Péguillet
Perchard Jura 16
avril 1872, M ; et Mme
Pierrete
Pietri
Pillegrain
Piveteau
Pouget
Pomadère
Poutes
Quiliviry (Malgache),
Ragot Charles, d’où : -Charles, marié à une Bretonne
prénommée Marthe dont Armand et André à
Tiouandé , Jeanne Ragot mariée à Duchosal Léon
et Angélique Ragot. marié à Alfred Rambaud ;
- Eugène, commerçant, mort à Gap, ainsi que Berthe, marraine
de mère.
2 filles dont l’une en
Amérique.
A Saint-Denis de la Réunion,
le 19 octobre 1861, avait eu lieu
le mariage de Ragot avec Félicité
Adèle- Monne Guéroult, née le 26 juillet 1839 à Saint-Denis (acte n°133),
qui débarque en Calédonie en 1875, où elle et son mari boulanger
s’installent à Ouégoa au lieu-dit la Boulange et se lient d’amitié avec
Higginson qui lui vend sa propriété de Tiouandé et une de ses sa
maisons à Nouméa, rue de Sébastopol. Le
mari tente sa chance dans les mines, A Ouégoa, acte 9, nous avons le décès de
Séraphin Guéroult le 11 février 1877,
qui avait accompagné la famille. Il s’agit de Séraphin Ernest Louis Guéroult,
fils légitime de Séraphin Louis Guéroult
et de Monique Pierre Victor , né à Saint-Denis de la Réunion,le 24
janvier 1843 , demeurant à Ouégoa, mineur à la compagnie de la Balade et mort
dans le magasin à minerai de la Compagnie.
Félicité Adèle –Monne (d’où Monnette) Guéroult est la fille
de Louis Séraphin Guéroult,
carrossier, né le 19 brumaire an X à Evreux dans l’Eure (10 novembre 1802),
décédé le 20 décembre 1847 (acte n°341) à Saint-Denis, marié le 17 août 1833 à
Saint-Denis avec Monique Victor, . Monique est née le 4 mai 1815 à Saint-Denis,
et elle est morte à Nouméa le 14 octobre 1895, acte n°162. Son acte de décès a
pour témoin Alfred Rambaud ,né le 13 juin 1863 à Saint-Denis (acte
532) , fils du confiseur réunionnais
Benjamin Rambaud, né à Toulouse le 5
décembre 1828, mort en Calédonie , et de Marie Adélaïde Guéroult ,qui s’étaient mariés le 26 février 1859 à Saint –Denis. Marie –Adélaïde Guéroult, née le 2
août 1837(acte n°121) à Saint-Denis est une autre fille de Louis Séraphin Guéroult et d’une Monique Victor, qui est la fille de Pierre Victor et de Félicité Dallain. La mère de Monique Victor, née en 1788, est décédée à Saint-Denis le 3 novembre 1856
(acte n°348).Pierre Victor ,
cordonnier, était né en 1780 , voir aussi à Saint-Denis le 10 janvier 1815, décède à Saint-Denis le 7 décembre 1855,
Ramassamy
Rambaud Alfred ,
confiseur réunionnais (marié à Angélique Ragot,
dont 3 filles : Reine mariée à Georges Duchosal, Jeannette mariée à Léo Darche et Louisette mariée à André Robert,
Rangassamy,
Rapadzi
Rayandi
Reynaud , Rance 24 mars 1871, M. et Mme , 3
enfants . A noter le décès à Kouaoua d’un Raynaud
marié à une Rambaud et né à
Saint-Denis de la Réunion, dont enfants liés à la famille Bernier, réunionnais également
Renaud
Revercé
Robert
Rochard
Roland
Rolland Octave, Mme et ,5 enfants
Roustan, voir Clemenceau
Routier de Granval
Sabry
Sahary (Cafre),
Saint -Ange Charitable,
voir Gravina, de Saint-Benoît de la
Réunion
Saint Lys
Jean-Baptiste Emmanuel Georges Théodore, acte 72 de Nouméa, acte de naissance
le18 avril 1902 , fils de Joseph
Saint-Lys, 50 ans et de Maradan
Sophie, 42 ans, mariés à ,Saint-Denis le 16 septembre 1877, témoins
Alfred Rambaud, 39 ans , et Benjamin
Rambaud , 41 ans, employé.
Saint-Lys Marie Paula,
Louise, dont 1 enfant Camille Paul , né
le 19 juin 1902, acte117, à Nouméa, reconnu
par Edouard Marie O’Callaghan le
22. 10.1903, mariée à Nouméa le 25.020.1928 avec Marie Emilie Dubaton , morte à Nouméa le 5 juin
1954.
Saminadin
Samson
Sautron
Perrianin Soupin
Seisset Alphonse, femme et enfant
Senonge
Simon , Rance 24
mars 1871, M. et Mme
Joseph Sitilingon ou Wentilingon
Stera
Sylvestre
Talon
Tardivel
Tassau Jura 16
avril 1872
Tatapa (indien employé de Higginson, déserteur en 1874)
Tendrias ou Tendrayen cf. pour le suffixe Virassamy Souprayen
Tessier
Thibaut de Chanvallon
Rance 24 mars 1871
Toachy, par la Néréïde,
le 28.12.1871, Moniteur 1872
Tournier
Toussaint,
Turpin
Vaubois
Velayoudon
Vellon
Venant
Vergoz
Verité
Vezard Jura 16
avril 1872 M. et Mme + 1 enfant
Victor Monique
Pierre, voir Guéroult, Ouégoa.
Vigneron M. Jura 16 avril 1872
Vincent Louis Alphonse et sa femme avec 3 enfants et 1
domestique voir Léglise
Virapin-Apou,
Viramoutoussamy,
Virassamy Souprayen
Virte
Vlody
Vitorin Albert et Charles, par la Néréïde, le 28.12.1871, Moniteur
1872
Vivien
Volsant
Wagner
Zacharie
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