Des Ibères appelés Grecs , la tribu des Grallaïques, se sont
installés en Amérique.
Plutarque, selon Vinci, The Baltic origins , p.272, dans De facie quae in orbe lunae apparet, observe : « Il y a d’autres
îles au-delà d’Ogygie [les îles Féroè] qui sont à la même distance les unes
vis-à-vis des autres que Ogygie
vis-à-vis des îles Britanniques, à cinq jours de voile ; au-delà de ces îles on atteint le grand
continent qu’entoure l’Océan Atlantique. La côte de ce continent est
habitée par des Grecs le long des
rivages d’un golfe [golfe du Saint -Laurent] qui a au moins la
taille du Meotide [grec Maeiôtidès latin Palus Maeotis qui s'étend sur une superficie de 37 600 km2,
aujourd’hui la mer d’Azov] et qui se situe
dans la mer à environ la même latitude que l’embouchure [l’effluent disparu, aujourd’hui la dépression de Manytch qui la reliait à la mer d’Azov et à la mer Noire
] de la mer Caspienne [qui
est une mer résiduelle de l’océan disparu ou mer Paratéthys] . Ils s’appellent eux-mêmes les Continentaux ». Le Méotis correspond aujourd’hui à la mer
d’Azov qui est elle-même un bras peu profond de la mer Noire, précise F. Vinci.
Mais
est-ce bien des Grecs , Graïkoi
? Plutarque a été dupe d’un
paronyme, le nom d’une tribu ibère , les
Grallaïques , ou Gralléciens, ou Gallèque.
Le fretum
Gallicum qui désigne le détroit
entre Bonifacio et la Sardaigne (où il n’y a pas de Gaulois) doit se traduire par le détroit gallèque, et fait allusion à une tribu ibère,
celle des Galléciens qu’on retrouve
dans la Galice espagnole et dans la Galicie polonaise.
En Corse, le Promontoire Granicum vient de granikos, altération de
grallikon.
Hercule en Amérique
Plutarque, toujours dans De
facie quae in orbe lunae apparet, nous
apprend que les compagnons d’Hercule
ranimèrent la flamme chez les « Grecs continentaux » d’Amérique du
Nord qui avaient perdu en grande partie sur le continent américain leur
langage, leurs coutumes, et leur style de vie pour adopter ceux des Barbares. Disons
plus exactement que leur langue ibère ,
parente du Grec parce que c’est une langue indo-européenne a paru du grec dégénéré aux compagnons doriens
d’Hértaklès.
Pour le langage,
intéressons-nous aux quelques formes parentes d’Europe, d’Inde et d’Amérique.
Le nom grec du renard, alopek-s,
sanskrit lopacah, latin pecu, pecus, petit
bétail, anglais fox est
à relier au mot pekan qui désigne
une martre du Canada ou un putois de Virginie réputé pour sa fourrure, ainsi qu’au
mot maya pek, chien, avec , dans alopeks, alo venant de salvo-, forêt, le composé signifiant chien sauvage. Les sceptiques
pourront se récrier qu’il ne s’agit de ma part que d’une hypothèse ; mais
elle est confirmée par le quechua du Pérou allpaca, dont nous avons fait alpaga et qui désigne un mammifère
parent du lama. De même, pecari, de pek-alies avec postposition du alo du grec alopex, désignant un sanglier du Brésil, est un mot de Guyane et du Venézuéla. Le mot semble
ainsi panaméricain. . Le nom de la chauve-souris domestique en Océanie,
d’origine ibère, signifiant renard- volant,
contient souvent cette racine pek
.
Le nom du caribou
est algonquin, et il provient du grec helaphos,
de keraphos , cerf, parent du latin cervus, de kerphos .cf. ellos, de elnos, faon, vieux –slave jeleni, balto-slave elnis, donnant élan en
français, suédois ren islandais
hreinn, allemand Reen,
donnant renne en français, moyen haut
allemand elend , aujourd’hui Elentier, arménien eln, d’un radical elen donnant
ela + élargissement en ph.
Où habitaient les Centaures ?
Les Centaures ou Gandharva ? Des Finnois Fervir
engoncés dans leurs fourrures de martre noire.
Vinci, P, 224,225, 226 344, rappelle que l’Iliade, 2, 711-715, cite « les habitants de Pherae,
près du marais Boebian
(qui signifie le marais des castors ou martres , à
rapprocher de l’anglais beaver, latin beber d’origine gauloise, ancien français bièvre)), en particulier Boibé.. »
Pherae nous
dit Vinci, p. 224, dans Les origines baltiques…
, doit être identifiée avec la moderne Vora,située
près de la rivière du Centaure Chiron (cf. adour, daro
Kiron joki, non
loin du lac Lappa jarvi (jarvi de ksinos, signifiant martre, le lac des martres,, analogue au marais Boebian.
Peut-être le nom de Pherae peut-il
être retrouvé dans le nom actuel de
la rivière Pehro (Perhonjoki)qui
coule près de Jollka.
Les Centaures sont appelés Phériens dans l ‘Iliade.
Jordanès, dans son Histoire des Goths
(du VI e siècle), mentionne parmi les peuples scandinaves les Fervir qui vivent près des Finnaith, c’est-à-dire les Finns de Finlande, les Finnois
Homère les qualifie de lachnéentas dans l’Iliade , 2, 743, 9,548, ,terme qui peut signifier engoncé dans un manteau de fourrure, lachnè en grec désignant le poil épais d’un animal, sa fourrure , sa crinière comme celle d’un cheval, ce qui , étant donné la latitude, paraît
tout à fait normal.
.Juste avant de citer les
Finnois et les Fervirs , Jordanès
mentionne les Suethans, ancêtres des Suédois, « qui approvisionnent les
Romains de fourrures de martres par leurs exportations à travers d’autres
peuples, chap. 3; ils sont célèbres pour le merveilleux noir de leurs fourrures
(famosi pellium decora nigretudine).
Les gandharva sont donc les dharva,=fervir, porteurs et gan signifie belette, martre , de ksin , grec iktinos,martre , loup, de i prothétique et indo-européen
kseinos,grec iktinos, arménien cin, sanskrit cyenah , de ksieina . Les Centaures sont un assourdissement du même radical, de ksen tharva .
Les Finnaith, c’est-à-dire les Finns,
tel est le nom de ces peuples qui
signifiait peut-être les porteurs de
fourrure de martre, animal qui avait
une signification religieuse comme le montre l’euphémisme belette, la petite belle, et il ressemble au grec iktinos , martre. La consonne indo-européenne ks a donné p (pek) ou f (finnaith) dans les langues du Nord .
1 Pek
Le nom grec du renard, alopek-s,
sanskrit lopacah, latin pecu, pecus, petit
bétail, anglais fox est
à relier au mot pekan qui désigne
une martre du Canada ou un putois de Virginie réputé pour sa fourrure, ainsi qu’au
mot maya pek, chien, avec , dans alopeks, alo venant de salvo-, forêt, le composé signifiant chien sauvage. Les sceptiques
pourront se récrier qu’il ne s’agit de ma part que d’une hypothèse ; mais
elle est confirmée par le quechua du Pérou allpaca, dont nous avons fait alpaga et qui désigne un mammifère
parent du lama. De même, pecari, de pek-alies avec postposition du alo du grec alopex, désignant un sanglier du Brésil, est un mot de Guyane et du Venézuéla. Le mot semble
ainsi panaméricain. . Le nom de la chauve-souris domestique en Océanie,
d’origine ibère, signifiant renard- volant,
contient souvent cette racine pek
.
2 Fin :
J’emprunte à Bessmertny , L’Atlantide, dans son résumé des théories de Karst, les
rapprochements suivants. :
En Amérique les peuples
Esquimaux modernes portent le nom ethnique
caucasique du type Inuk [de Finuk, cf .le
nom de la fouine, car le
mot fouine , bien qu’on prétende que les
fouines recherchent les fruits des hêtres,fagi, les faînes,
faginae, et que le mot provient peut-être de fagina meles ou mustela, , avec un o analogique de fou , dérivé de fagus, me
semble ressembler par trop au français fennec,
qui vient de l’arabe fanec, de finuk ) ] , Ainuk (Ainou du Japon), Inach et qu’on peut suivre jusqu’au mot maya ninik.Dans le
nord-ouest de l’Europe, nous lui trouvons comme équivalence le nom breton-gallois Veneter,
dérivé de Venet=innuit (esquimau) et
nous trouvons dans l’Italie du Nord la même dénomination chez les Vénitiens.
Nous trouvons aussi le peuple primitif des Fenier
(Fionach, Fingal) dans le pays
des Picts et des Ecossais… La population primitive de l’Irlande et de l’Ecosse
était constituée de rameaux primitifs de la race humaine dolichocéphale
esquimau-inachidienne dont le nom national était viunit,
fuinik, vinachi, venachi, enachi, simples variantes du thème général qui
caractérisait les membres de la race inachidi -ainukiche. »
Les femmes portaient peut-être des fourrures de
castors et non de martre noir ou martre zibeline
, italien zibellino, du polonais sabol, russe sobol, du latin médiéval sabellum
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