vendredi 17 juillet 2020

Des Ibères appelés Grecs , la tribu des Grallaïques, se sont installés en Amérique.


Des Ibères appelés Grecs ,  la tribu des   Grallaïques, se sont installés en Amérique.
Plutarque, selon Vinci, The Baltic origins , p.272, dans De facie quae in orbe lunae apparet,  observe : « Il y a d’autres îles au-delà d’Ogygie [les îles Féroè] qui sont à la même distance les unes vis-à-vis des autres  que Ogygie vis-à-vis des îles Britanniques, à cinq jours de voile ; au-delà de ces îles on atteint le grand continent qu’entoure l’Océan Atlantique.  La côte de ce continent est habitée par des Grecs le long des rivages d’un golfe [golfe du Saint -Laurent] qui a au moins la taille du Meotide  [grec  Maeiôtidès latin Palus Maeotis qui s'étend sur une superficie de 37 600 km2, aujourd’hui la mer d’Azov] et qui se situe  dans la mer à environ la même latitude que l’embouchure  [l’effluent  disparu, aujourd’hui la dépression de Manytch  qui la reliait à la mer d’Azov et à la mer Noire ] de la mer Caspienne  [qui est une mer résiduelle de l’océan disparu  ou mer Paratéthys] . Ils s’appellent eux-mêmes les Continentaux ». Le Méotis correspond aujourd’hui à la mer d’Azov qui est elle-même un bras peu profond de la mer Noire,  précise F. Vinci.
  Mais  est-ce bien des Grecs , Graïkoi  ?  Plutarque a été dupe d’un paronyme, le nom d’une tribu ibère , les  Grallaïques , ou Gralléciens, ou  Gallèque.  
Le   fretum Gallicum qui désigne le détroit entre Bonifacio et la Sardaigne (où il n’y a pas de Gaulois)  doit se traduire par le détroit gallèque,   et fait allusion à une tribu ibère, celle des Galléciens qu’on retrouve dans la Galice espagnole et dans la Galicie polonaise.
En Corse, le Promontoire Granicum vient de granikos, altération de grallikon.

Hercule en Amérique  
Plutarque, toujours  dans De facie quae in orbe lunae apparet, nous apprend  que les compagnons d’Hercule ranimèrent la flamme chez les « Grecs continentaux » d’Amérique du Nord qui avaient perdu en grande partie sur le continent américain leur langage, leurs coutumes, et leur style de vie pour adopter ceux des Barbares. Disons plus exactement  que leur langue ibère , parente du Grec parce que c’est une langue indo-européenne a paru du  grec dégénéré aux compagnons doriens d’Hértaklès.
Pour le langage, intéressons-nous aux quelques formes parentes d’Europe, d’Inde et d’Amérique.
Le nom grec du renard, alopek-s, sanskrit lopacah, latin pecu, pecus, petit bétail, anglais fox  est à relier au mot pekan qui désigne une  martre du Canada ou un putois de Virginie réputé pour sa fourrure, ainsi qu’au mot maya pek,  chien, avec , dans alopeks,  alo venant de salvo-, forêt, le composé signifiant chien sauvage. Les sceptiques pourront se récrier qu’il ne s’agit de ma part que d’une hypothèse ; mais elle est confirmée par le quechua du Pérou allpaca, dont nous avons fait alpaga et qui désigne un mammifère parent du lama. De même,  pecari, de pek-alies avec postposition  du alo du grec alopex, désignant un  sanglier du Brésil, est un  mot de Guyane et du Venézuéla. Le mot semble ainsi panaméricain. . Le nom de la chauve-souris domestique en Océanie, d’origine ibère, signifiant renard- volant,  contient souvent cette racine pek .
Le nom du  caribou est algonquin, et il  provient du  grec helaphos, de keraphos , cerf, parent du latin cervus, de kerphos .cf. ellos, de elnos, faon, vieux –slave jeleni, balto-slave elnis, donnant élan en français,  suédois ren islandais hreinn,  allemand Reen, donnant renne en français, moyen haut allemand elend , aujourd’hui Elentier, arménien eln, d’un radical elen donnant ela + élargissement en ph.



 Où habitaient les Centaures ?
Les Centaures ou Gandharva ? Des Finnois Fervir engoncés dans leurs fourrures de martre noire.
Vinci, P, 224,225, 226 344,  rappelle que l’Iliade, 2, 711-715, cite « les habitants de Pherae,  près du marais Boebian
 (qui signifie le marais des  castors ou martres , à rapprocher de l’anglais beaver, latin beber d’origine gauloise, ancien français bièvre)), en particulier Boibé..  »
Pherae nous dit Vinci, p. 224, dans Les origines baltiques… , doit être identifiée avec la moderne Vora,située près de la rivière  du Centaure Chiron (cf. adour, daro
Kiron joki, non loin du lac Lappa jarvi (jarvi de ksinos, signifiant martre, le lac des martres,, analogue au marais Boebian. Peut-être le nom de Pherae peut-il être retrouvé dans le nom actuel de la rivière Pehro (Perhonjoki)qui coule près de Jollka.
Les Centaures sont  appelés Phériens  dans l ‘Iliade. Jordanès, dans son Histoire des Goths (du VI e siècle), mentionne parmi les peuples scandinaves les Fervir qui vivent près des Finnaith, c’est-à-dire les Finns de Finlande, les Finnois
Homère les qualifie de lachnéentas dans l’Iliade , 2, 743, 9,548, ,terme qui peut signifier engoncé dans un manteau de fourrure,  lachnè en grec désignant le poil épais d’un animal, sa fourrure , sa crinière comme celle d’un cheval,  ce qui , étant donné la latitude, paraît tout à fait normal.
.Juste avant de citer les Finnois et les Fervirs  , Jordanès mentionne les Suethans, ancêtres des Suédois, « qui approvisionnent les Romains de fourrures de martres par leurs exportations à travers d’autres peuples, chap. 3; ils sont célèbres pour le merveilleux noir de leurs fourrures (famosi pellium decora nigretudine).
Les gandharva  sont donc les dharva,=fervir, porteurs et gan  signifie belette, martre , de ksin , grec  iktinos,martre , loup,  de i prothétique et indo-européen kseinos,grec iktinos,  arménien cin, sanskrit cyenah , de ksieina . Les Centaures sont un assourdissement du même radical, de ksen tharva .
Les Finnaith, c’est-à-dire les Finns, tel est le nom de ces peuples  qui signifiait peut-être les porteurs de fourrure de  martre, animal qui avait une signification religieuse comme le montre l’euphémisme belette, la petite belle, et il ressemble au grec  iktinos  , martre. La consonne indo-européenne ks a donné  p (pek) ou  f  (finnaith) dans les langues  du Nord .
1 Pek
Le nom grec du renard, alopek-s, sanskrit lopacah, latin pecu, pecus, petit bétail, anglais fox  est à relier au mot pekan qui désigne une  martre du Canada ou un putois de Virginie réputé pour sa fourrure, ainsi qu’au mot maya pek,  chien, avec , dans alopeks,  alo venant de salvo-, forêt, le composé signifiant chien sauvage. Les sceptiques pourront se récrier qu’il ne s’agit de ma part que d’une hypothèse ; mais elle est confirmée par le quechua du Pérou allpaca, dont nous avons fait alpaga et qui désigne un mammifère parent du lama. De même,  pecari, de pek-alies avec postposition  du alo du grec alopex, désignant un  sanglier du Brésil, est un  mot de Guyane et du Venézuéla. Le mot semble ainsi panaméricain. . Le nom de la chauve-souris domestique en Océanie, d’origine ibère, signifiant renard- volant,  contient souvent cette racine pek .

2 Fin :
J’emprunte à Bessmertny , L’Atlantide, dans son  résumé des théories de Karst, les rapprochements suivants. :
En Amérique les peuples Esquimaux modernes  portent le nom ethnique caucasique  du type Inuk [de Finuk, cf .le nom de la fouine, car  le mot  fouine , bien qu’on prétende que les fouines recherchent les fruits des hêtres,fagi,  les faînes,  faginae,  et que le mot provient peut-être de fagina meles ou mustela, , avec un o analogique de fou , dérivé de fagus, me semble ressembler par trop au français fennec, qui vient de  l’arabe fanec, de finuk ) ] , Ainuk (Ainou du Japon), Inach et qu’on peut suivre jusqu’au mot maya ninik.Dans le nord-ouest de l’Europe, nous lui trouvons comme équivalence le nom breton-gallois  Veneter, dérivé de Venet=innuit (esquimau) et nous trouvons dans l’Italie du Nord la même dénomination chez les Vénitiens. Nous trouvons aussi le peuple primitif des Fenier (Fionach, Fingal) dans le pays des Picts et des Ecossais… La population primitive de l’Irlande et de l’Ecosse était constituée de rameaux primitifs de la race humaine dolichocéphale esquimau-inachidienne dont le nom national était  viunit, fuinik, vinachi, venachi, enachi, simples variantes du thème général qui caractérisait les membres de la race inachidi -ainukiche. »
 Les femmes portaient peut-être des fourrures de castors et non de martre noir ou  martre zibeline , italien zibellino, du polonais sabol, russe sobol, du latin médiéval sabellum





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire