Le silence apparent de l’historien du 1er
siècle ap. J. –C. Flavius Josèphe, de langue grecque, concernant Jésus-Christ.
Les auteurs anciens
gardent un silence embarrassé sur le nom de Jésus, tel Lucien dans La mort de Peregrinos ou Tacite dans les Annales, 15, 44, qui écrit
« ceux que le peuple (vulgus]
appelait Chrétiens » ; mais
comment les savants les appelaient-ils ? Esséniens, c’est-à-dire pauvres (on sait que Jésus, « de
riche qu’il était, s’était fait pauvre, » selon saint Paul 2
Corinthiens, 8,9, Nazoréens ou encore
Thérapeutes ?
Tel est bien le cas,
en apparence, pour l’historien de langue grecque et d’origine juive Flavius (originaire de Flavia colonia
, Césarée, en Palestine] Josèphe au
premier siècle ap. J. -C., qui
connaissait bien au premier siècle après
J. –C. les traditions juives, qui
d’ailleurs dans les Antiquités judaïques nomme Jean le Baptiste et
Jacques ,chef d’une révolte contre les
Romains, qualifié de frère de Jésus,dit le Christ [la lapidation par
les Juifs, suivie de la crucifixion du cadavre, appelée pendaison au bois, de
Jacques , le premier évêque de de Jérusalem, décrit comme « le frère de Jésus
appelé Christ »[188].», mais, du moins dans la partie
universellement jugée authentique et non interpolée, ne dit rien de Jésus et ne
le nomme même pas . Pourtant, un passage est intéressant et pourrait concerner Jésus sous le nom de Ben Stara . Josèphe nous
parle en effet à deux reprises, d’un un faux prophète égyptien qu’il ne nomme pas dans nos trois manuscrits
actuels (pourquoi ?).
Première occurrence : Guerre des Juifs : II, XII,
5, paragraphe 261-263 : qui paraît entre75 et 79 ap. J.-C.
« A ce moment là [du temps de Félix [gouverneur, hégémôn
en grec, de Judée de 52 à 60 ap. J.- C. qui a sous ses ordres le préfet Ponce Pilate appelé parfois gouverneur]) vint un Egyptien [ nommé Jésus appelé Christ ]qui se proclamait prophète et qui conseilla à la
populace de monter avec lui au mont
appelé le Mont des Oliviers, qui se trouve en face de la ville, à cinq stades
[1000 mètres] de distance [Lydda en
araméen ancien et dans la littérature rabbinique , nom qui, incompris, est souvent pris pour une ville , -inconnue
bien entendu .Gethsemani qui
signifie en hébreu le pressoir à huile ].
Il répétait en effet aux gens qu’il voulait leur montrer de là comment, sur son
ordre, les remparts de Jérusalem [comme ceux de Jéricho au son dre trompettes]
s’écrouleraient et il promettait de leur
frayer ainsi un passage. Félix, lorsqu’il apprit cela, ordonna à ses soldats de prendre les armes
et, s’élançant hors de Jérusalem avec beaucoup de cavaliers et de fantassins,
il attaqua l’Egyptien et ceux qui l’entouraient ; il en tua quatre cents
et en fit prisonniers deux cents. [Quant à
l’Egyptien lui-même [ici interpolation à
supprimer ; L’Egyptien lui-même s’échappa de la mêlée et disparut.],
[Félix] sur la dénonciation
des premiers parmi nous [les juifs) , le condamna à la croix, ceux qui l'avaient aimé précédemment ne
cessèrent pas. .. Jusqu'à maintenant
encore, le groupe des chrétiens
[avec un èta et non un iota, comme chez Tacite, Annales, 15, 44, qui écrit « ceux que le peuple (vulgus] appelait Chrétiens] ainsi nommé d’après lui n'a pas disparu. »
Seconde occurrence
(Antiquités judaïques, qui paraît en
93-94 ap. J.- C. ), XX, VIII, 6,
paragraphe 169-171 :
«Un Egyptien [nommé Jésus et appelé Chrèstos, ce qui
signifie prophète (adjectif verbal de Bailly
3 chraô, faire savoir en parlant d’un oracle divin , cf. grec chrèstèrion, oracle ] porta aux Juifs un coup encore plus
funeste. Ce personnage était un guérisseur qui s’était acquis une réputation
de prophète : arrivé en Palestine, il y rassembla environ trente mille
gens dévoués. Après les avoir fait tourner dans le désert, il les amena au mont
dit des Oliviers. De là il était à même de forcer l’entrée de Jérusalem [malgré
ses remparts] Et, la garnison romaine une fois maîtrisée, d’établir sa royauté
sur le peuple juif, en prenant comme gardes du corps ceux qui auraient
participé à l’assaut à ses côtés. Félix
[le gouverneur, qui a sous ses ordres le
préfet Ponce Pilate appelé parfois
gouverneur] prévint l’attaque ; il se porta au-devant de lui avec l’infanterie
lourde romaine, le peuple entier se joignant à lui pour la défense, de sorte
que, l’engagement ayant eu lieu, la
plupart furent tués ou faits prisonniers,
le reste se dispersa, chacun rentrant chez lui en cachette. [Quant à l’Egyptien lui-même [ici interpolation à supprimer ; L’Egyptien
lui-même s’enfuit avec un petit nombre de ses gens] [Félix] sur la dénonciation
des premiers parmi nous [les juifs), le condamna à la croix [la veille de la
Pâque juive, au Mont des Oliviers] ; ceux
qui l'avaient aimé précédemment ne cessèrent pas.. Jusqu'à maintenant encore, le groupe des chrétiens [avec un èta et non un iota, comme
chez Tacite, Annales,
15, 44, qui écrit « ceux que le peuple (vulgus] appelait Chrétiens] ainsi nommé d’après lui n'a pas disparu. »
Entre 80 et 90 ap. J. C., après la rédaction
finale de l’Evangile de Luc, nous avons le témoignage des Actes des Apôtres de saint Paul, 21,
37-38 :
« Sur le point d’être introduit dans la forteresse,
Paul dit [en grec] au tribun : « Me serait-il permis de te dire un
mot ?-Tu sais le grec ? demanda celui-ci. Tu n’es donc pas l’Egyptien
[pourtant cet Egyptien, c’est-à-dire
Jésus , parlait le grec aussi bien que l’araméen, preuve entre autres
que le passage a été interpolé ] quatre mille sicaires et les a entraînés au désert ? » Sicaire, sicarius, grec sicarios, vient de sica,
poignard porté à la ceinture ou
caché sous les vêtements, traduction de l’araméen céphas , surnom de Simon dit Pierre, et il y avait eu plusieurs
mouvements dits de sicaires contre
les Romains, cf. Flavius Josephe, A. J., 20,8,10 et sikè, , 20, 8,10.
Chrèstos au sens de
Prophète et Chrestiani.
Lorsqu’à l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm je
suivais les cours d’agrégation dispensés par notre caïman Pouthier sur Tacite, Annales, 15, 44, prudent, il nous disait : « Faites
seulement remarquer au jury que la leçon d’un manuscrit est étonnante : on
attendrait chistianos avec un i et non chrerstianos, mais surtout n’insistez pas ; enchaînez sur
Suétone, Néron, 16, 2, Claude, 205, 4, Cicéron,Lettres, 2,8,1. qui confirment cette
leçon. »
En quoi d’ailleurs Jésus
a-t-il été l’oint , -le christos,
en grec frotté d’huile d’olive comme les rois et chefs religieux israëlites ,
du seigneur ? Peut-être l’épisode
de la femme qui casse un vase de parfum
précieux pourrépande le nard essuie ses pieds
Il nous reste maintenant à étudier les ajouts et
rectifications destinées à établir la gloire du Christ , savoir ce qu’on
appelle le Testimonium flavianum dans les Antiquités judaïques, aux
paragraphes 63 et 64 du Livre XVIII. Plusieurs manuscrits datant du
Moyen Âge en présentent des versions différentes. La plus courante est
identique à celle citée par Eusèbe de Césarée (~265-~340) dans deux de ses
ouvrages : L’Histoire ecclésiastique et la Démonstration
évangélique. Le texte aurait cependant pu être retouché, notamment par les
passages signalés entre crochets
« En ce temps-là parut un homme sage [si toutefois il faut
l'appeler un homme, car] c’était un faiseur de prodiges, un maître des gens qui
recevaient avec joie la vérité). Il entraîna beaucoup de Judéens et aussi
beaucoup de Grecs ; [celui-là était le Christ]. Et
quand Pilate [erreur pour Félix] sur
la dénonciation des premiers parmi nous [les juifs) , le condamna à la croix,
ceux qui l'avaient aimé précédemment ne
cessèrent pas.[Car il leur apparut le troisième jour, vivant à
nouveau ; les prophètes divins avaient dit ces choses et dix mille autres
merveilles à son sujet.] Jusqu'à maintenant encore, le groupe des chrétiens
[ainsi nommé d’après lui ]n'a pas disparu. » Il existe de multiples autres versions avec des variations assez importantes, en différentes langues, mais aussi en grec et en latin. Une version en slavon se trouve même dans la Guerre des Juifs (au lieu des Antiquités judaïques), une autre œuvre de Flavius Josèphe : [c’était « un homme exceptionnel, [qui] accomplissait des choses prodigieuses […] et se gagna beaucoup de fidèles parmi les Juifs... », puis l’auteur mentionne la résurrection, l'admiration et la foi de ses disciples évoquant une lignée de chrétiens qui se perpétue à l'époque de Josèphe [189].
C’est ce texte retouché selon nous et comportant la fuite de Jésus et sa non crucifixion qui a servi de base, -à tort, -vers l’an mille, au Coran, puis aux Templiers. Selon les Templiers, lors de l’initiation des frères, ces derniers devaient cracher sur une image du Christ et de la croix posés au sol, et la piétiner, en traitant Jésus d’imposteur, ce qui correspond aux sourates du Coran, où il est dit que, contrairement à la rumeur des Chrétiens d’Occident, Jésus n’a pas été crucifié et que s’il y a une crucifixion, elle concerne une autre personne.
Le texte originels de Flavius Josèphe reconstitué par nous.
« le frère de Jésus appelé Christ »[
Pour la littérature rabbinique, ce prophète égyptien s’appelle
Jésus Ben Stara et il est identique
à Jésus, pendu sur le bois(euphémisme
pour crucifié) au Mont des Oliviers
(Lydda) comme lui la veille de la Pâque juive , -coïncidence éminemment
troublante ; il a pour mère selonB ; SDhabat b104, paragraphe
33, une Marie de Magdala (dont le nom est interprétée comme la coiffeuse
pour dames) et l’on sait que Thierry Murcia a démontré de façon éclatante l’identité
de la mère du Christ et de Marie de Magdala.
Le créateur de l’empire
Maurya aux Indes Chandragupta est né en 323 av. J. –C. et mort vers
260, av. J. C. Brahmaniste ardent, il désire fonder des missions
évangélisatrices en Europe, comme son petit-fils au surnom
révélateur : Açoka le Pieux. Il a
nom Chandragupta, que les
Grecs ont transcrit Sand-racotos et
qui a donné en latin Racotis. De même, dans le Péloponnèse, le mont Gype doit son nom à Chandra gupta.
Dans Le Bouddhisme, p118,
Henri Arvon , écrit : « Dès le IIIe siècle avant notre ère, [ le pieux empereur Açoka ] tâche
d’étendre son apostolat jusque dans les royaumes grecs de Syrie,d’Egypte [Racotis] de Cyrène et même de
Macédoine… Dans ses célèbres édits
rupestres, il se glorifie d’avoir fait dans ces lointains pays des
« conquêtes de la loi »…C ‘est dans les Evangiles même que [certains indianistes] décèlent des
influences bouddhiques. Ainsi saint Marc et saint Jean contiendraient, selon eux, des phrases d’inspiration
bouddhique », ajoutons-y l’Apocalypse de saint Jean qui reprend la
bête aux dix cornes de Daniel 7,7
(Newton a écrit un ouvrage sur la
onzième corne de la bête… Ah ! Ces scientifiques !...). Mais
précisons que, selon moi, il s’agit
plutôt d’influences brahmanistes,
voire mazdéistes ou mithraïstes (par exemple, le rite de
l’eucharistie avec pain et vin).
Il existait en Egypte, près de Louxor, une ville appelée Magdolôs, de magdawos, , citée par Hérodote , 2, 1549, dont le nom est devenu ensuite Nag Hamadi (par prolepse du g : nag mado[wo],, et dont il reste deux dérivés, l’un avec le suffixe adjectival -né, Marie Magdalinè, de magdalos, et l’autre plus récent, de Joseph d’Arimathie, altération de Nag hamadi. Jésus était donc originaire de Nagmado et tel est peut-être le sens du N de Inri. En tout cas, ce n’est pas Nazareth, ville qui n’existait pas encore à cette époque (et d’ailleurs pourquoi Nazareth plutôt que Bethléem ?), même si l’on peut songer à Nazoreios, une secte de nazirs.
Sur le naziréat créé par ce magicien égyptien qu’était Moïse en 600 av. J. C., voir les Nombres, 5, 6.-21 . Il se manifeste par le refus d’utiliser le fer (rasoir, etc.) et renvoie à avant l’âge du fer.
A Magdolos, existait un sèméion (latin signum, statue) qui , comme nous l’apprend le pseudo-Lucien dans La déesse de Syrie était dédié à la déesse mère. Les israëlites ont fait des gorges chaudes de Jésus -Ben Stara se recueillant devant ce qu’ils appellent avec mépris une « brique » (cf. tel article de Murcia).
Mais ce qui est certain,, c’est que c’était un haut lieu d’adoration de la Vierge que chante Virgile dans sa 4é églogue.
Les 4 frères et sœurs de Jésus.
Ce sont Jacques, Josès, Jude et Simon, selon Marc, 6, 3 : « N’est-ce
pas [Jésus] le médecin, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Josès, de
Jude et de Simon ?et ses sœurs ne sont-elles pas ici parmi nous ? »
Matthieu,
12, 46 : « ta mère et
tres frères sont dehors, et ils cherchent à te parler.
Saint
Paul, Première Corinthiens, 9, 5 : « N’avons-nous
pas le droit de mener avec nous une soeur qui soit notre femme, comme font les autres apôtres, et les frères
du Seigneur, et Céphas [Simon dit Pierre dont la belle-mère (penthéra )n’a aucun autre sens) est attestée par les Evangiles, Marc, 1, 29 ; Luc, ,4,
38 ; Matthieu, 8, 14 ]? »Flavius Josèphe le confirme pour Jacques.
Même le nombre de trente sicles, salaire de la trahison de Judas dans les Evangiles, se retrouve dans cette littérature juive.
La profession de Jésus : médecin.
Quelle est le sens de
Ben Stara , forme qui semble la plus ancienne (Tosefta et Talmud), même si aujourd’hui nous avons
tendance à négliger diverses variantes comme Sitra ou Sotra et à employer plus
couramment Stada? Ben Stara renvoie, selon moi, à la profession du Christ et de son père Joseph et Murcia avait déjà fait
remarquer qu’il était peu vraisemblable
que Jésus et Joseph fussent des charpentiers, comme l’indique la traduction du
grec terktôn, mais bien plutôt des
guérisseurs –magiciens.
Tektôn signifie
d’ailleurs plutôt praticien, anglais practician ,au
sens tous les deux de médecin , de celui qui agit avec ses mains, comme les chiropractors . Pindare,
dans les Pythiques, 3,11, emploie teknôn au sens de médecin, Platon et Xénophon emploient tektorikos pour bûcheron. Le mot est apparenté au latin lignum (de
tignum ), bois , lignarius,
bûcheron , au vieux-slave tesati, au sanskrit taksantast. Il y a eu vraisemblablement confusion
de la racine teks -, qui désigne le bois avec
autre racine proche signifiant
soigner, servir les dieux.
Même le nom de Ben ou Bar
Pandera ,ou Pandira,
ou Panthera, , compris à tort comme
le fils de Panthera et désignant Jésus est l’altération tardive d’un mot de la koinè, parlée en Egypte , savoir carpentarius,
dérivé de carpentum, char, à
l’origine charron fabricant de
chariots, devenu en français charpentier. Bar Pandera est l’altération de Carpentaria.
Le nom de Stara ,
guérisseur , pour désigner Jésus ou
le meneur égyptien, selon moi, est
apparenté au grec de la koinè, tara(s),
de tara(ps) avec prolepse du s, à rapprocher de l’homérique theraps , qui
vient d’un radical thera +p- et désigne un serviteur des dieux,comme le grec thrèskos, ou therapôn ; les noms therapeutèr
ou thérapeutès signifient
chez Platon à la fois adorateur d’un
dieu [Esculape) et médecin à la fois , thérapeute. car
la médecine est entendue comme une
discipline magico- religieuse..
La littérature rabbinique nous apprend que le magicien
égyptien, comme saint Paul (Galates,
6,17 : Je porte dans mon corps les marques de Jésus »), s’était
scarifié au fer rouge sur le bras la preuve de son initiation à la profession
de guérisseur –prêtre-magicien. Il s’agit d’un caducée , bien qu’on puisse
penser aussi aux deux lettres grecques, Chi
et Rhô, pour emblème de Christos.
Le symbole des magiciens –guérisseurs.
Il fait allusion au serpent d’airain magique de Moïse. Nombres, 21,4 : « Le peuple s’impatienta et parla contre
Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avoir fait monter hors d’Egypte pour
que nous mourions dans le désert ?Car ici
il n’y a point de pain et il n’ »y a point d’eau et nous sommes
dégoûtés par cette misérable nourriture.
caducée était
le
Alors l’Eternel
envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple,
et il mourut beaucoup de gens en Israël.
Le peuple vint à
Moïse et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Eternel et
contre toi. Prie l’Eternel afin, qu’il
éloigne de nous cers serpents. Moïse pria pour le peuple.
L’Eternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant, et
place-le sur une perche (c’est le caducée primitif] ; quiconque aura été
mordu et le bregardera, conservera la
vie.
Moïse fit un serpent
d’airain, et le plaça sur une
perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent et regardait le
serpent d’airain, conservait la vie. »
Le caducée a été par la suite confondu avec la branche
d’olivier qui était, en Grèce, l’emblème des hérauts sacrés porteurs de paix.
De là le nom de caducée, en latin caduceus, altéré du grec kèrukeïon
, insigne des hérauts (kèrux en grec,
apparenté à l’ homérique karkairô
, au sanskrit carkarti, parler très haut et kaaruh, héraut ).
On retrouve le
caducée à la fin de l’Evangile de Marc, 16, 1 : « Voilà les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En mon nom, ils chasseront les démons, …
ils saisiront à pleines mains des
serpents ou boiront n’importe quel poison
mortel, sans que rien ne leur fasse de mal ; ils imposeront les mains
aux malades et les malades et seront guéris. ».
N. B. : voir
pour la suite mes blogs sur Jean
le Baptiste et Qui donc
est le disciple bien aimé de
Jésus ?
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