jeudi 2 avril 2020

Le silence apparent de l’historien du 1er siècle ap. J. –C. Flavius Josèphe, de langue grecque, concernant Jésus-Christ.


 Le silence apparent de l’historien du 1er siècle ap. J. –C. Flavius Josèphe, de langue grecque, concernant Jésus-Christ.

Les auteurs anciens gardent un silence embarrassé sur le nom de Jésus, tel Lucien dans La mort de Peregrinos ou  Tacite dans les Annales, 15, 44,  qui écrit « ceux que le peuple (vulgus] appelait Chrétiens » ; mais comment les savants les appelaient-ils ? Esséniens, c’est-à-dire pauvres (on sait que Jésus, « de riche qu’il était, s’était fait pauvre, » selon saint Paul  2 Corinthiens, 8,9, Nazoréens ou encore Thérapeutes ?
Tel est bien le cas, en apparence, pour l’historien de langue grecque et d’origine  juive Flavius (originaire de Flavia colonia , Césarée, en Palestine] Josèphe au premier siècle ap. J. -C.,  qui connaissait bien  au premier siècle après J. –C. les traditions juives,  qui d’ailleurs  dans les Antiquités judaïques nomme Jean le Baptiste et Jacques ,chef d’une révolte contre les Romains,  qualifié de  frère de Jésus,dit le Christ [la lapidation par les Juifs, suivie de la crucifixion du cadavre, appelée pendaison au bois, de Jacques , le premier évêque de de Jérusalem, décrit comme « le frère de Jésus appelé Christ »[188].», mais, du moins dans la partie universellement jugée authentique et non interpolée, ne dit rien de Jésus et ne le nomme même pas . Pourtant, un passage est intéressant et pourrait  concerner Jésus  sous le nom de Ben Stara . Josèphe nous parle en effet à deux reprises, d’un un faux prophète égyptien  qu’il ne nomme pas dans nos trois manuscrits actuels (pourquoi ?).
Première occurrence : Guerre des Juifs : II, XII, 5, paragraphe 261-263 : qui paraît entre75 et 79 ap. J.-C.
«  A ce moment là [du temps de Félix [gouverneur,  hégémôn en grec, de Judée de 52 à 60 ap. J.- C. qui a sous ses ordres le préfet Ponce Pilate appelé parfois gouverneur]) vint un  Egyptien [ nommé Jésus appelé Christ ]qui  se proclamait prophète et qui conseilla à la populace de monter avec lui  au mont appelé le Mont des Oliviers, qui se trouve en face de la ville, à cinq stades [1000 mètres] de distance [Lydda en araméen ancien et  dans la littérature rabbinique  , nom qui, incompris,  est souvent pris pour une ville , -inconnue bien entendu .Gethsemani  qui signifie en hébreu le pressoir à huile ]. Il répétait en effet aux gens qu’il voulait leur montrer de là comment, sur son ordre, les remparts de Jérusalem [comme ceux de Jéricho au son dre trompettes] s’écrouleraient  et il promettait de leur frayer ainsi un passage. Félix, lorsqu’il apprit cela,  ordonna à ses soldats de prendre les armes et, s’élançant hors de Jérusalem avec beaucoup de cavaliers et de fantassins, il attaqua l’Egyptien et ceux qui l’entouraient ; il en tua quatre cents et en fit prisonniers deux cents. [Quant à l’Egyptien lui-même [ici interpolation à supprimer ; L’Egyptien lui-même s’échappa de la mêlée et disparut.],
[Félix] sur la dénonciation des premiers parmi nous [les juifs) , le condamna à la croix, ceux qui l'avaient aimé précédemment ne cessèrent pas. .. Jusqu'à maintenant encore, le groupe des chrétiens [avec un èta et non un iota, comme chez Tacite,  Annales, 15, 44,  qui écrit « ceux que le peuple (vulgus] appelait Chrétiens] ainsi nommé d’après lui n'a pas disparu. »

Seconde occurrence  (Antiquités judaïques, qui paraît en 93-94 ap. J.- C.  ), XX, VIII, 6,  paragraphe 169-171 :
 «Un  Egyptien [nommé Jésus et appelé Chrèstos, ce qui signifie prophète (adjectif verbal de Bailly  3 chraô, faire savoir en parlant d’un oracle divin , cf. grec chrèstèrion, oracle  ]  porta aux Juifs un coup encore plus funeste. Ce personnage  était un  guérisseur qui s’était acquis une réputation de prophète : arrivé en Palestine, il y rassembla environ trente mille gens dévoués. Après les avoir fait tourner dans le désert, il les amena au mont dit des Oliviers. De là il était à même de forcer l’entrée de Jérusalem [malgré ses remparts] Et, la garnison romaine une fois maîtrisée, d’établir sa royauté sur le peuple juif, en prenant comme gardes du corps ceux qui auraient participé à l’assaut à ses côtés. Félix [le gouverneur, qui a sous ses ordres le préfet Ponce Pilate appelé parfois gouverneur] prévint l’attaque ; il se porta au-devant de lui avec l’infanterie lourde romaine, le peuple entier se joignant à lui pour la défense, de sorte que, l’engagement ayant eu lieu,  la plupart furent tués ou faits prisonniers,  le reste se dispersa, chacun rentrant chez lui en cachette. [Quant à l’Egyptien lui-même [ici interpolation à supprimer ; L’Egyptien lui-même s’enfuit avec un petit nombre de ses gens] [Félix] sur la dénonciation des premiers parmi nous [les juifs), le condamna à la croix [la veille de la Pâque juive, au Mont des Oliviers] ; ceux qui l'avaient aimé précédemment ne cessèrent pas.. Jusqu'à maintenant encore, le groupe des chrétiens [avec un èta et non un iota, comme chez Tacite,  Annales, 15, 44,  qui écrit « ceux que le peuple (vulgus] appelait Chrétiens] ainsi nommé d’après lui n'a pas disparu. »

  Entre 80 et 90 ap. J. C., après la rédaction finale de l’Evangile de Luc,  nous avons le témoignage des Actes des Apôtres de saint Paul, 21, 37-38 :
«  Sur le point d’être introduit dans la forteresse, Paul dit [en grec] au tribun : « Me serait-il permis de te dire un mot ?-Tu sais le grec ? demanda celui-ci. Tu n’es donc pas l’Egyptien [pourtant cet Egyptien, c’est-à-dire  Jésus , parlait le grec aussi bien que l’araméen, preuve entre autres que le passage a été interpolé ] quatre mille sicaires et les a entraînés au désert ?  » Sicaire, sicarius, grec sicarios,  vient de sica, poignard  porté à la ceinture ou caché sous les vêtements, traduction de l’araméen céphas , surnom de Simon dit Pierre, et il y avait eu  plusieurs mouvements dits de sicaires contre les Romains, cf. Flavius Josephe, A. J., 20,8,10 et sikè, , 20, 8,10.
Chrèstos au sens de Prophète et Chrestiani.
Lorsqu’à l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm je suivais les cours d’agrégation dispensés par notre caïman Pouthier sur Tacite, Annales, 15, 44,  prudent, il nous disait : « Faites seulement remarquer au jury que la leçon d’un manuscrit est étonnante : on attendrait chistianos avec un i et non chrerstianos, mais surtout n’insistez pas ; enchaînez sur Suétone, Néron, 16, 2, Claude, 205, 4, Cicéron,Lettres, 2,8,1. qui confirment cette leçon. »
En quoi d’ailleurs Jésus  a-t-il été l’oint , -le christos, en grec frotté d’huile d’olive comme les rois et chefs religieux israëlites , du seigneur ? Peut-être l’épisode   de la femme qui casse un vase de parfum  précieux pourrépande le nard essuie ses pieds
Il nous reste maintenant à étudier les ajouts et rectifications destinées à établir la gloire du Christ , savoir ce qu’on appelle le Testimonium flavianum  dans les Antiquités judaïques, aux paragraphes 63 et 64 du Livre XVIII. Plusieurs manuscrits datant du Moyen Âge en présentent des versions différentes. La plus courante est identique à celle citée par Eusèbe de Césarée (~265-~340) dans deux de ses ouvrages : L’Histoire ecclésiastique et la Démonstration évangélique. Le texte aurait cependant pu être retouché, notamment par les passages signalés entre crochets 
 « En ce temps-là parut un homme sage [si toutefois il faut l'appeler un homme, car] c’était un faiseur de prodiges, un maître des gens qui recevaient avec joie la vérité). Il entraîna beaucoup de Judéens et aussi beaucoup de Grecs ; [celui-là était le Christ].  Et quand Pilate [erreur pour Félix] sur la dénonciation des premiers parmi nous [les juifs) , le condamna à la croix, ceux qui l'avaient aimé précédemment ne cessèrent pas.[Car il leur apparut le troisième jour, vivant à nouveau ; les prophètes divins avaient dit ces choses et dix mille autres merveilles à son sujet.]   Jusqu'à maintenant encore, le groupe des chrétiens [ainsi nommé d’après lui ]n'a pas disparu. »
 Il existe de multiples autres versions avec des variations assez importantes, en différentes langues, mais aussi en grec et en latin. Une version en slavon se trouve même dans la Guerre des Juifs (au lieu des Antiquités judaïques), une autre œuvre de Flavius Josèphe :  [c’était « un homme exceptionnel, [qui] accomplissait des choses prodigieuses […] et se gagna beaucoup de fidèles parmi les Juifs... », puis l’auteur mentionne la résurrection, l'admiration et la foi de ses disciples évoquant une lignée de chrétiens qui se perpétue à l'époque de Josèphe [189].
C’est ce texte retouché selon nous et comportant la fuite de Jésus et sa non crucifixion qui a servi de base, -à tort, -vers l’an mille, au Coran, puis aux Templiers. Selon les Templiers, lors de l’initiation des frères, ces derniers devaient cracher sur une image du Christ et de la croix posés au sol, et la piétiner, en traitant Jésus d’imposteur, ce qui correspond aux sourates du Coran, où il est dit que, contrairement à la rumeur des Chrétiens d’Occident,  Jésus n’a pas été crucifié  et que s’il y a une crucifixion, elle concerne une autre personne.
Le texte originels de Flavius Josèphe reconstitué par nous.
« le frère de Jésus appelé Christ »[
Pour la littérature rabbinique, ce prophète égyptien s’appelle Jésus Ben Stara et il est identique à Jésus, pendu sur le bois(euphémisme pour crucifié) au Mont des Oliviers (Lydda) comme lui la veille de la Pâque juive , -coïncidence éminemment troublante ; il a pour mère selonB ; SDhabat b104, paragraphe 33,  une Marie de Magdala (dont le nom est interprétée comme la coiffeuse pour dames) et l’on sait que Thierry Murcia a démontré de façon éclatante l’identité de la mère du Christ et de Marie de Magdala.
Le créateur de l’empire   Maurya aux Indes   Chandragupta   est né en 323 av. J. –C. et  mort vers  260, av. J. C. Brahmaniste ardent, il désire fonder des missions évangélisatrices en Europe, comme son petit-fils au surnom révélateur :  Açoka le Pieux. Il a nom Chandragupta, que les Grecs ont transcrit Sand-racotos et qui a donné en latin Racotis.   De même, dans le Péloponnèse, le mont Gype doit son nom à Chandra gupta.
Dans Le Bouddhisme, p118, Henri Arvon , écrit : «  Dès le IIIe siècle avant notre ère, [ le pieux empereur Açoka ] tâche d’étendre son apostolat jusque dans les royaumes grecs de Syrie,d’Egypte [Racotis] de Cyrène et même de Macédoine…  Dans ses célèbres édits rupestres,   il se glorifie  d’avoir fait dans ces lointains pays des « conquêtes de la loi »…C ‘est dans les Evangiles même que  [certains indianistes] décèlent des influences bouddhiques.  Ainsi saint Marc et saint Jean contiendraient, selon eux, des phrases d’inspiration bouddhique », ajoutons-y  l’Apocalypse de saint Jean qui reprend la bête aux dix cornes de Daniel  7,7 (Newton  a écrit un ouvrage sur la onzième corne de la bête… Ah ! Ces scientifiques !...). Mais précisons que, selon moi,  il s’agit plutôt d’influences brahmanistes, voire mazdéistes  ou mithraïstes (par exemple, le rite de l’eucharistie avec pain et vin). 

Marie de Magdala. la mère du Christ.
Il existait en Egypte, près de Louxor,  une ville appelée Magdolôs, de magdawos, , citée par Hérodote , 2, 1549, dont le nom est devenu ensuite  Nag Hamadi (par prolepse du g : nag mado[wo],, et dont il reste deux dérivés, l’un avec le suffixe adjectival -né, Marie Magdalinè, de magdalos, et l’autre plus récent, de Joseph d’Arimathie, altération de Nag hamadi. Jésus était donc originaire de Nagmado et tel est peut-être le sens du N de Inri. En tout cas,  ce n’est pas Nazareth, ville  qui n’existait pas encore à cette époque (et d’ailleurs pourquoi Nazareth plutôt que Bethléem ?), même si l’on peut songer à Nazoreios, une secte de nazirs.
Sur le naziréat créé par ce magicien égyptien qu’était Moïse en 600 av. J. C.,  voir les Nombres, 5, 6.-21 .  Il se manifeste par le refus d’utiliser le fer (rasoir, etc.) et renvoie à avant l’âge du fer.
A Magdolos, existait un sèméion (latin signum, statue) qui , comme nous l’apprend le pseudo-Lucien dans La déesse de Syrie était dédié à la déesse mère. Les israëlites ont fait des gorges chaudes de Jésus -Ben Stara se recueillant devant ce qu’ils appellent avec mépris une « brique » (cf. tel article de Murcia).
Mais ce qui est certain,, c’est que c’était un haut lieu d’adoration de la Vierge que chante Virgile dans sa 4é églogue.



Les 4 frères et sœurs de Jésus.
Ce sont Jacques, Josès, Jude et Simon, selon Marc, 6, 3 : « N’est-ce pas [Jésus] le médecin, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Josès, de Jude et de Simon ?et ses sœurs ne sont-elles pas ici parmi nous ? »
Matthieu, 12, 46 : « ta        mère et tres frères sont dehors, et ils cherchent à te parler.
Saint Paul, Première Corinthiens, 9, 5 : « N’avons-nous pas le droit de mener avec nous une soeur qui soit notre femme,  comme font les autres apôtres, et les frères du Seigneur, et Céphas [Simon  dit Pierre dont la belle-mère (penthéra )n’a aucun  autre sens) est attestée par les Evangiles, Marc, 1, 29 ; Luc, ,4, 38 ; Matthieu, 8, 14 ]? »
Flavius Josèphe le confirme pour Jacques.
Même le nombre de trente sicles, salaire de la trahison de Judas dans les Evangiles, se retrouve dans cette littérature juive.
La profession  de Jésus : médecin.
 Quelle est le sens de Ben Stara , forme qui semble la plus ancienne (Tosefta et Talmud), même si aujourd’hui nous avons tendance à négliger diverses variantes comme Sitra ou Sotra et à employer plus couramment Stada? Ben Stara renvoie, selon moi,  à la profession  du Christ et de son père Joseph et Murcia avait déjà fait remarquer  qu’il était peu vraisemblable que Jésus et Joseph fussent des charpentiers, comme l’indique la traduction du grec terktôn, mais bien plutôt des guérisseurs –magiciens.
Tektôn signifie d’ailleurs plutôt praticien, anglais practician ,au sens tous les deux  de médecin , de  celui qui agit avec ses mains, comme les chiropractors . Pindare, dans les Pythiques, 3,11, emploie teknôn au sens de médecin, Platon et Xénophon emploient tektorikos pour bûcheron. Le mot est apparenté au latin   lignum (de
tignum ),  bois , lignarius, bûcheron , au vieux-slave  tesati, au sanskrit taksantast. Il y a eu vraisemblablement   confusion  de la racine teks -,  qui désigne le bois avec autre racine proche signifiant soigner, servir les dieux.
Même le nom de Ben ou  Bar  Pandera ,ou Pandira, ou Panthera, , compris à tort comme le fils de Panthera et désignant Jésus  est l’altération tardive d’un mot de la koinè, parlée en Egypte , savoir carpentarius,  dérivé de carpentum, char,  à l’origine charron fabricant de chariots, devenu en français  charpentier. Bar Pandera est l’altération de Carpentaria.
Le nom de Stara , guérisseur , pour désigner Jésus ou le meneur égyptien, selon moi,  est apparenté au grec de la koinè,  tara(s), de  tara(ps) avec prolepse du s, à rapprocher de l’homérique theraps , qui vient d’un radical thera +p- et désigne un  serviteur des dieux,comme  le grec thrèskos, ou  therapôn ; les noms  therapeutèr  ou thérapeutès signifient chez Platon à la fois adorateur d’un dieu [Esculape) et médecin à la fois , thérapeute.  car la  médecine est entendue comme une discipline magico- religieuse..
La littérature rabbinique nous apprend que le magicien égyptien, comme saint Paul (Galates, 6,17 : Je porte dans mon corps les marques de Jésus »), s’était scarifié au fer rouge sur le bras la preuve de son initiation à la profession de guérisseur –prêtre-magicien. Il s’agit d’un caducée , bien qu’on puisse penser aussi aux deux lettres grecques, Chi et Rhô, pour emblème de Christos.

Le . Quoi qu’il en soit, les trois documents s’accordent sur un point majeur. Tous rapportent que le meneur égypticaducée était le  symbole des magiciens –guérisseurs. Il fait allusion au serpent d’airain magique de Moïse. Nombres, 21,4 : « Le peuple s’impatienta et parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avoir fait monter hors d’Egypte pour que nous mourions dans le désert ?Car ici  il n’y a point de pain et il n’ »y a point d’eau et nous sommes dégoûtés par cette misérable nourriture.
Alors l’Eternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.
 Le peuple vint à Moïse et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Eternel et contre toi. Prie l’Eternel  afin, qu’il éloigne de nous cers serpents. Moïse pria pour le peuple.
L’Eternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche (c’est le caducée primitif] ; quiconque aura été mordu  et le bregardera, conservera la vie.
Moïse fit un serpent d’airain,  et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent et regardait le serpent d’airain, conservait la vie. »


Le caducée  a été par la suite confondu avec la branche d’olivier qui était, en Grèce, l’emblème des hérauts sacrés porteurs de paix. De là le nom de caducée, en latin caduceus, altéré du grec kèrukeïon , insigne des hérauts (kèrux en grec, apparenté à l’ homérique karkairô , au sanskrit carkarti, parler très haut et  kaaruh, héraut ).
On  retrouve le caducée à  la fin de l’Evangile de Marc, 16, 1 : « Voilà les miracles  qui accompagneront ceux qui auront cru : En mon nom, ils chasseront les démons, … ils saisiront à pleines mains des serpents ou boiront n’importe quel poison  mortel, sans que rien ne leur fasse de mal ; ils imposeront les mains aux malades et les malades et seront guéris. ».
N. B. : voir pour la suite mes  blogs sur Jean  le Baptiste et Qui donc est  le disciple bien aimé de Jésus ?



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Flavius Josèphe
96
 et dans le
 Livre des Actes


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